Les échos du souvenir

Par : Tamara McKinley

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  • Nombre de pages429
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 2,4 cm
  • ISBN979-10-392-0136-0
  • EAN9791039201360
  • Date de parution07/04/2022
  • CollectionArchipoche
  • ÉditeurArchipoche
  • TraducteurDanièle Momont

Résumé

1936. A peine arrivée à Paris, la Ville Lumière apparaît à Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres, comme la cité de tous les possibles. Elle y fait la connaissance d'un poète en devenir et d'un peintre en quête de reconnaissance. Ensemble, ils passent leurs journées à prendre du bon temps. Mais la guerre civile menace en Espagne... Deux décennies plus tard, suivant les pas de sa mère, Eugénie, jeune artiste prometteuse, tombe amoureuse de la capitale.
Elle ne se doute pas encore des secrets que sa présence va faire ressurgir... Tamara McKinley délaisse le temps d'un roman les paysages sauvages de sa terre natale pour entraîner ses lectrices de Londres à Paris en passant par un Pays basque à feu et à sang, avec le brio qui ont fait le succès de ses grands romans australiens.
1936. A peine arrivée à Paris, la Ville Lumière apparaît à Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres, comme la cité de tous les possibles. Elle y fait la connaissance d'un poète en devenir et d'un peintre en quête de reconnaissance. Ensemble, ils passent leurs journées à prendre du bon temps. Mais la guerre civile menace en Espagne... Deux décennies plus tard, suivant les pas de sa mère, Eugénie, jeune artiste prometteuse, tombe amoureuse de la capitale.
Elle ne se doute pas encore des secrets que sa présence va faire ressurgir... Tamara McKinley délaisse le temps d'un roman les paysages sauvages de sa terre natale pour entraîner ses lectrices de Londres à Paris en passant par un Pays basque à feu et à sang, avec le brio qui ont fait le succès de ses grands romans australiens.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Un roman rempli d’amour
Londres, 1936. Le père d’Annabelle n’a pas accepté qu’elle ait intégré l’école d’infirmières, il y a cinq ans. Elle découvre qu’il a la rancœur tenace, quand cet avocat redouté détruit la réputation de sa fille : aucun hôpital ne veut l’employer. Camille, la mère d’Annabelle, lui suggère d’aller à Paris, chez sa tante Aline. A peine arrivée dans la capitale française, alors qu’elle cherche son chemin, Annabelle fait la connaissance de deux jeunes hommes : Étienne, un écrivain, et Henri, un artiste peintre. Très vite, tous trois deviennent inséparables. C’est ensemble qu’ils effectuent un voyage périlleux jusqu’en Espagne, où la guerre civile fait rage. Les deux garçons rejoignent les Brigades internationales, alors que la jeune fille se présente à l’hôpital, le cœur gros. L’homme qu’elle aime va se battre et risquer sa vie. Vingt ans plus tard, Eugénie, une Anglaise de dix-huit ans, intègre les Beaux-arts, à Paris. Elle pressent que cette ville recèle les secrets de sa mère. J’ai adoré les personnages de ce roman. Lorsque Annabelle s’installe en France, elle est d’une grande candeur, même si elle a déjà prouvé sa force de caractère, en s’opposant à son père. Cependant, c’est une nouvelle vie qu’elle entame auprès de sa tante. Elle s’épanouit auprès des artistes que reçoit Aline, elle fait la fête et elle tombe amoureuse. La guerre d’Espagne la sépare de celui qu’elle aime, avec l’espoir qu’ils se retrouvent par la suite. Malgré la faim et la fatigue, elle est entièrement dévouée aux blessés. Elle résiste, courageusement, à la peur des bombardements. Elle affronte les chagrins avec dignité, pourtant, elle profite des éclaircies lorsque le destin lui offre des moments de bonheur. Étienne et Henri sont des jeunes hommes valeureux, qui se battent pour libérer l’Espagne. Leurs témoignages sont poignants et montrent que l’engagement, alors que volontaire, est irréversible. Ce sont des amis d’enfance, avec des personnalités différentes, mais tellement similaires dans le courage. Plusieurs passages les concernant sont poignants. Au fil des révélations sur leur destin, mon émotion est devenue de plus en plus vive. Les larmes me sont montées aux yeux à la lecture d’un évènement relaté à la fin du livre. Aline est extrêmement attachante. Ses tenues et sa maison sont remplies de couleurs. Elle est une femme libre, sensible aux arts sous toutes ses formes : musicales, littéraires, peinture, etc. Son cœur et sa porte sont toujours ouverts. Elle est d’une immense générosité. Cependant, certains de ces actes, motivés par l’amour, ont des conséquences sur plusieurs vies. Lorsque ses secrets sont dévoilés, c’est une déflagration qui atteint plusieurs personnes. J’ai, également, été touchée par ce qu’elle a vécu, pendant l’Occupation. Eugénie est une jeune fille, bien dans sa peau et ancrée dans son époque. Elle est très attentionnée, prenant soin d’Aline, qui a toujours été celle qui soulageait les autres. Son arrivée à Paris est à l’origine des révélations. Enfin, George est un ami anglais d’Annabelle. Au début du livre, il m’était indifférent, mais mes sentiments ont évolué lorsque j’ai appris son rôle dans la vie de son amie. Le récit est divisé en trois périodes. La première se passe dans le Paris d’avant-guerre, dans une atmosphère insouciante. La deuxième se déroule en Espagne, pendant la guerre civile. Tamara McKinley décrit l’horreur des combats, le manque de reconnaissance ressenti par les soldats, les injustices dont sont victimes ceux qui risquent leur vie pour libérer un pays qui n’est pas toujours le leur, le dévouement, sans failles, des infirmières, des médecins et des bénévoles, qui sont en danger, en étant au plus près des combats. Enfin, la troisième partie concerne la France d’après-guerre, en 1956. Le caractère d’Eugénie apporte beaucoup de lumière, alors que sont révélés des éléments dramatiques. Nous découvrons l’issue de la Guerre d’Espagne pour les personnages, ainsi que des évènements tragiques, de la Seconde Guerre mondiale, qui m’ont meurtri le cœur. Malgré les malheurs, Les Échos des souvenirs est rempli d’amour, ce qui le rend doux et flamboyant, en même temps. Tamara McKinley indique que l’idée de ce roman lui est venue, lors d’un séjour à Paris, suite à une invitation des Éditions de l’Archipel. Je ne peux que souhaiter qu’elle puisse revenir, lorsque les conditions sanitaires le permettront, et que la France lui inspire une autre histoire aussi vibrante que Les Échos des souvenirs. Cocorico. J’ai adoré ce roman.
Londres, 1936. Le père d’Annabelle n’a pas accepté qu’elle ait intégré l’école d’infirmières, il y a cinq ans. Elle découvre qu’il a la rancœur tenace, quand cet avocat redouté détruit la réputation de sa fille : aucun hôpital ne veut l’employer. Camille, la mère d’Annabelle, lui suggère d’aller à Paris, chez sa tante Aline. A peine arrivée dans la capitale française, alors qu’elle cherche son chemin, Annabelle fait la connaissance de deux jeunes hommes : Étienne, un écrivain, et Henri, un artiste peintre. Très vite, tous trois deviennent inséparables. C’est ensemble qu’ils effectuent un voyage périlleux jusqu’en Espagne, où la guerre civile fait rage. Les deux garçons rejoignent les Brigades internationales, alors que la jeune fille se présente à l’hôpital, le cœur gros. L’homme qu’elle aime va se battre et risquer sa vie. Vingt ans plus tard, Eugénie, une Anglaise de dix-huit ans, intègre les Beaux-arts, à Paris. Elle pressent que cette ville recèle les secrets de sa mère. J’ai adoré les personnages de ce roman. Lorsque Annabelle s’installe en France, elle est d’une grande candeur, même si elle a déjà prouvé sa force de caractère, en s’opposant à son père. Cependant, c’est une nouvelle vie qu’elle entame auprès de sa tante. Elle s’épanouit auprès des artistes que reçoit Aline, elle fait la fête et elle tombe amoureuse. La guerre d’Espagne la sépare de celui qu’elle aime, avec l’espoir qu’ils se retrouvent par la suite. Malgré la faim et la fatigue, elle est entièrement dévouée aux blessés. Elle résiste, courageusement, à la peur des bombardements. Elle affronte les chagrins avec dignité, pourtant, elle profite des éclaircies lorsque le destin lui offre des moments de bonheur. Étienne et Henri sont des jeunes hommes valeureux, qui se battent pour libérer l’Espagne. Leurs témoignages sont poignants et montrent que l’engagement, alors que volontaire, est irréversible. Ce sont des amis d’enfance, avec des personnalités différentes, mais tellement similaires dans le courage. Plusieurs passages les concernant sont poignants. Au fil des révélations sur leur destin, mon émotion est devenue de plus en plus vive. Les larmes me sont montées aux yeux à la lecture d’un évènement relaté à la fin du livre. Aline est extrêmement attachante. Ses tenues et sa maison sont remplies de couleurs. Elle est une femme libre, sensible aux arts sous toutes ses formes : musicales, littéraires, peinture, etc. Son cœur et sa porte sont toujours ouverts. Elle est d’une immense générosité. Cependant, certains de ces actes, motivés par l’amour, ont des conséquences sur plusieurs vies. Lorsque ses secrets sont dévoilés, c’est une déflagration qui atteint plusieurs personnes. J’ai, également, été touchée par ce qu’elle a vécu, pendant l’Occupation. Eugénie est une jeune fille, bien dans sa peau et ancrée dans son époque. Elle est très attentionnée, prenant soin d’Aline, qui a toujours été celle qui soulageait les autres. Son arrivée à Paris est à l’origine des révélations. Enfin, George est un ami anglais d’Annabelle. Au début du livre, il m’était indifférent, mais mes sentiments ont évolué lorsque j’ai appris son rôle dans la vie de son amie. Le récit est divisé en trois périodes. La première se passe dans le Paris d’avant-guerre, dans une atmosphère insouciante. La deuxième se déroule en Espagne, pendant la guerre civile. Tamara McKinley décrit l’horreur des combats, le manque de reconnaissance ressenti par les soldats, les injustices dont sont victimes ceux qui risquent leur vie pour libérer un pays qui n’est pas toujours le leur, le dévouement, sans failles, des infirmières, des médecins et des bénévoles, qui sont en danger, en étant au plus près des combats. Enfin, la troisième partie concerne la France d’après-guerre, en 1956. Le caractère d’Eugénie apporte beaucoup de lumière, alors que sont révélés des éléments dramatiques. Nous découvrons l’issue de la Guerre d’Espagne pour les personnages, ainsi que des évènements tragiques, de la Seconde Guerre mondiale, qui m’ont meurtri le cœur. Malgré les malheurs, Les Échos des souvenirs est rempli d’amour, ce qui le rend doux et flamboyant, en même temps. Tamara McKinley indique que l’idée de ce roman lui est venue, lors d’un séjour à Paris, suite à une invitation des Éditions de l’Archipel. Je ne peux que souhaiter qu’elle puisse revenir, lorsque les conditions sanitaires le permettront, et que la France lui inspire une autre histoire aussi vibrante que Les Échos des souvenirs. Cocorico. J’ai adoré ce roman.
Le roman le plus touchant et le plus bouleversant de Tamara McKinley !
Je connais bien les romans de Tamara McKinley mais celui-ci m’a particulièrement intriguée de par son titre et le fait que l’histoire se passe entre Paris et l’Espagne bien loin de l’Australie auxquelles nous a habituée l’auteur. Un très beau coup de cœur chargé d’émotions… Paris, 1956. Un homme croit revoir celle qu’il a toujours aimé mais n’étais-ce que les échos du souvenir qu’il en avait ? Londres, 1936. Annabelle Blake survit comme elle peut après son renvoi de l’hôpital où elle exerçait en tant qu’infirmière. Sans son amie Caroline partie en tant qu’infirmière en pleine guerre civile espagnole et sans Georges dont elle a refusé la demande en mariage, Annabelle est seule. Jusqu’à ce que sa mère apporte une solution permettant à sa fille de repartir de zéro à Paris. Un nouveau départ loin des manigances de son père pour la faire plier à la vie et à l’homme qu’il lui avait choisie. Perdue, Annabelle fait la connaissance d’Henri et d’Etienne, l’un peintre et l’autre écrivain. C’est avec eux qu’elle fait la connaissance de sa tante Aline, à l’opposé de sa mère si discrète. Aline connaît tout et tout le monde à Paris et a ses entrées partout. Quant à Henri, il est tombé sous le charme d’Annabelle. La vie à Paris est pour Annabelle un émerveillement jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’Henri qui éprouve lui aussi des sentiments pour la jeune femme. Malheureusement leur amour naissant sera soumis à rude épreuve avec la guerre d’Espagne qui fait rage. Une guerre qu’Henri et Etienne vont rejoindre après les fêtes de fin d’année. Une séparation des plus douloureuses à moins qu’Annabelle parte avec eux vu que Paris lui refuse de pouvoir exercer son métier d’infirmière. Un échec et à peine arrivée à Paris qu’elle repart avec Henri et Etienne pour l’Espagne où ses talents d’infirmière seront enfin utiles dans une guerre civile qui ne fait que commencer. Loin du confort habituel, Annabelle va connaître la faim, le froid, la peur et va faire preuve de courage face aux horreurs inimaginables qui l’attendent. Séparée d’Henri et d’Etienne, Annabelle se voue corps et âme aux blessés malgré le manque cruel de matériel. Quand Henri est blessé, Annabelle fait tout pour le sauver tandis que sa méfiance envers Etienne fait place à une solide amitié. Un amour en temps de guerre est-il possible quand tout peut s’effondrer en un instant ? Quand la guerre et les mensonges condamnent une histoire d’amour ! Deux semaines de congés et la guerre qui fait rage pourrait avoir raison de leur amour. De retour à Paris, Annabelle n’est plus la même mais va trouver la force de se battre pour Henri car à l’ère des malheurs, un miracle peut tout changer. Paris, 1956. Deux décennies après, Eugénie Ashton s’installe à Paris. Prête à prendre son destin en main, la voici inscrite aux Beaux-Arts pour une année. Tout comme sa mère, elle emménage chez sa tante Aline que la guerre n’a pas épargnée mais sa venue cache le secret de ses origines. Les mensonges, le pardon et un nouvel amour seront-ils la rédemption des secrets du passé ? Tamara McKinley offre une parenthèse parisienne loin de l’Australie toute en finesse et émotions. Le lecteur plonge au cœur d’une guerre contre le fascisme où personne n’en ressortira indemne. Il n’y a qu’à Paris que l’amour a une saveur si particulière que Tamara McKinley a su magnifier le rendant fort et fragile à la fois à l’image de ses héroïnes. Le contexte de la guerre, les descriptions nous amènent au cœur des combats et dévoilent les atrocités commises et le courage des Brigades Internationales pour la liberté d’un pays. Une histoire d’amour sur fond de secrets de famille où le pardon sera la rédemption face aux mensonges ! Sensibilité autant dans l’histoire que dans l’écriture, Tamara McKinley enchante ses lecteurs par cette histoire bouleversante de non-dits et de mensonges. A l’heure où ceux-ci sont sur le point d’être révélés, une deuxième chance peut-elle être accordée à ceux qui l’ont laissée passée ? L’auteur délaisse l’Australie rurale pour raconter une histoire d’amour durant la guerre civile d’Espagne ! L’écho des souvenirs, une plume d’émotions et de finesse dans une histoire d’amour qui défie le temps !
Je connais bien les romans de Tamara McKinley mais celui-ci m’a particulièrement intriguée de par son titre et le fait que l’histoire se passe entre Paris et l’Espagne bien loin de l’Australie auxquelles nous a habituée l’auteur. Un très beau coup de cœur chargé d’émotions… Paris, 1956. Un homme croit revoir celle qu’il a toujours aimé mais n’étais-ce que les échos du souvenir qu’il en avait ? Londres, 1936. Annabelle Blake survit comme elle peut après son renvoi de l’hôpital où elle exerçait en tant qu’infirmière. Sans son amie Caroline partie en tant qu’infirmière en pleine guerre civile espagnole et sans Georges dont elle a refusé la demande en mariage, Annabelle est seule. Jusqu’à ce que sa mère apporte une solution permettant à sa fille de repartir de zéro à Paris. Un nouveau départ loin des manigances de son père pour la faire plier à la vie et à l’homme qu’il lui avait choisie. Perdue, Annabelle fait la connaissance d’Henri et d’Etienne, l’un peintre et l’autre écrivain. C’est avec eux qu’elle fait la connaissance de sa tante Aline, à l’opposé de sa mère si discrète. Aline connaît tout et tout le monde à Paris et a ses entrées partout. Quant à Henri, il est tombé sous le charme d’Annabelle. La vie à Paris est pour Annabelle un émerveillement jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’Henri qui éprouve lui aussi des sentiments pour la jeune femme. Malheureusement leur amour naissant sera soumis à rude épreuve avec la guerre d’Espagne qui fait rage. Une guerre qu’Henri et Etienne vont rejoindre après les fêtes de fin d’année. Une séparation des plus douloureuses à moins qu’Annabelle parte avec eux vu que Paris lui refuse de pouvoir exercer son métier d’infirmière. Un échec et à peine arrivée à Paris qu’elle repart avec Henri et Etienne pour l’Espagne où ses talents d’infirmière seront enfin utiles dans une guerre civile qui ne fait que commencer. Loin du confort habituel, Annabelle va connaître la faim, le froid, la peur et va faire preuve de courage face aux horreurs inimaginables qui l’attendent. Séparée d’Henri et d’Etienne, Annabelle se voue corps et âme aux blessés malgré le manque cruel de matériel. Quand Henri est blessé, Annabelle fait tout pour le sauver tandis que sa méfiance envers Etienne fait place à une solide amitié. Un amour en temps de guerre est-il possible quand tout peut s’effondrer en un instant ? Quand la guerre et les mensonges condamnent une histoire d’amour ! Deux semaines de congés et la guerre qui fait rage pourrait avoir raison de leur amour. De retour à Paris, Annabelle n’est plus la même mais va trouver la force de se battre pour Henri car à l’ère des malheurs, un miracle peut tout changer. Paris, 1956. Deux décennies après, Eugénie Ashton s’installe à Paris. Prête à prendre son destin en main, la voici inscrite aux Beaux-Arts pour une année. Tout comme sa mère, elle emménage chez sa tante Aline que la guerre n’a pas épargnée mais sa venue cache le secret de ses origines. Les mensonges, le pardon et un nouvel amour seront-ils la rédemption des secrets du passé ? Tamara McKinley offre une parenthèse parisienne loin de l’Australie toute en finesse et émotions. Le lecteur plonge au cœur d’une guerre contre le fascisme où personne n’en ressortira indemne. Il n’y a qu’à Paris que l’amour a une saveur si particulière que Tamara McKinley a su magnifier le rendant fort et fragile à la fois à l’image de ses héroïnes. Le contexte de la guerre, les descriptions nous amènent au cœur des combats et dévoilent les atrocités commises et le courage des Brigades Internationales pour la liberté d’un pays. Une histoire d’amour sur fond de secrets de famille où le pardon sera la rédemption face aux mensonges ! Sensibilité autant dans l’histoire que dans l’écriture, Tamara McKinley enchante ses lecteurs par cette histoire bouleversante de non-dits et de mensonges. A l’heure où ceux-ci sont sur le point d’être révélés, une deuxième chance peut-elle être accordée à ceux qui l’ont laissée passée ? L’auteur délaisse l’Australie rurale pour raconter une histoire d’amour durant la guerre civile d’Espagne ! L’écho des souvenirs, une plume d’émotions et de finesse dans une histoire d’amour qui défie le temps !
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