Les échanges maritimes et commerciaux de l'Antiquité à nos jours. Volume 2

Par : Philippe Sturmel

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  • Nombre de pages292
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-336-30724-4
  • EAN9782336307244
  • Date de parution01/11/2014
  • CollectionMéditerranées
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Formulation quasi pléonastique que celle-ci dans la mesure où la mer, les océans ont toujours été étroitement associés à l'activité des hommes, qu'il s'agisse de transport de personnes, de marchandises ou d"< armes". Les Phéniciens, les Grecs, les Romains (mare nostrum), les Vikings (on prête à Leif Eriksonn aux alentours de l'an mil la découverte du continent Nord-américain) etc., toutes les civilisations, tous les peuples, ou presque, ont voulu faire de la mer et des océans leur terrain de jeu, de chasse, d'échanges ou d'aventures.
A l'aube de l'époque moderne, la navigation commerciale connaît un essor spectaculaire et les terres apparaissent comme un obstacle à son développement ; la solution vient alors des canaux, nouvelles artères de circulation. La mer, enfin, comme lieu de toutes les spéculations, intellectuelles, philosophiques ou utopiques. Ce sont là les points que le présent ouvrage entend présenter, lequel réunit les actes du colloque organisé à La Rochelle les 27 et 28 septembre 2012 par le Centre d'Etudes Internationales sur la Romanité.
Les communications présentées suivent un ordre chronologique et "naviguent" sur toutes les mers et tous les océans.
Formulation quasi pléonastique que celle-ci dans la mesure où la mer, les océans ont toujours été étroitement associés à l'activité des hommes, qu'il s'agisse de transport de personnes, de marchandises ou d"< armes". Les Phéniciens, les Grecs, les Romains (mare nostrum), les Vikings (on prête à Leif Eriksonn aux alentours de l'an mil la découverte du continent Nord-américain) etc., toutes les civilisations, tous les peuples, ou presque, ont voulu faire de la mer et des océans leur terrain de jeu, de chasse, d'échanges ou d'aventures.
A l'aube de l'époque moderne, la navigation commerciale connaît un essor spectaculaire et les terres apparaissent comme un obstacle à son développement ; la solution vient alors des canaux, nouvelles artères de circulation. La mer, enfin, comme lieu de toutes les spéculations, intellectuelles, philosophiques ou utopiques. Ce sont là les points que le présent ouvrage entend présenter, lequel réunit les actes du colloque organisé à La Rochelle les 27 et 28 septembre 2012 par le Centre d'Etudes Internationales sur la Romanité.
Les communications présentées suivent un ordre chronologique et "naviguent" sur toutes les mers et tous les océans.