Du sang et des larmes. Des dents cassés et des tripes. Des enfants au futur rivé dans les yeux du diable. La misère vissée aux tripes.
Ça se passe à Denver, ville de trafic, de prostitution, de drogue et de règlements de compte. Denver, cette reine du vice, comme une ombre qui danserait au-dessus d’une tâche d’huile.
C’est l’histoire d’un géant qui s’est cramé le corps à faire sauter des explosifs, gros taiseux qui débarque là où les orphelins peinent à survivre dans cette lutte intestine avec les clochards et les forces de l’ordre. Il a le cœur violent autant qu’englué dans de la tendresse.
C’est l’histoire de Sam qui, comme on le dit dans les histoires : passe à l’âge adulte. Pour quelques dollars il se fraie un chemin dans le monde des grands, y laissant partout des bouts de son âme. Parce qu’il grandit dans un univers où les laissés pour compte sont et restent des laissés pour compte. Mais lui ce qu’il aime par-dessus : c’est Cora. Cora, c’est son cosmos, la reine des orphelins, celle pour qui son cœur bat plus fort que la mesure et déraille plus vite qu’un train lancé contre un mur.
Ça se passe à Denver, et ça, Denver, ne le pardonne pas.
Roman plein de respect et d’empathie pour les sans-noms, les laissés-de-côté, les gueules fracassées. Une tragédie épique, comme la remontée des flots par un groupe armé de ce courage là : transpercer les rois.
Les dynamiteurs, c’est du noir à cent pour cent, violent, intense et intransigeant. Mais c’est du noir comme on l’aime, avec une idée dedans : celle-là de déplacer le camp des héros.
Du sang et des larmes. Des dents cassés et des tripes. Des enfants au futur rivé dans les yeux du diable. La misère vissée aux tripes.
Ça se passe à Denver, ville de trafic, de prostitution, de drogue et de règlements de compte. Denver, cette reine du vice, comme une ombre qui danserait au-dessus d’une tâche d’huile.
C’est l’histoire d’un géant qui s’est cramé le corps à faire sauter des explosifs, gros taiseux qui débarque là où les orphelins peinent à survivre dans cette lutte intestine avec les clochards et les forces de l’ordre. Il a le cœur violent autant qu’englué dans de la tendresse.
C’est l’histoire de Sam qui, comme on le dit dans les histoires : passe à l’âge adulte. Pour quelques dollars il se fraie un chemin dans le monde des grands, y laissant partout des bouts de son âme. Parce qu’il grandit dans un univers où les laissés pour compte sont et restent des laissés pour compte. Mais lui ce qu’il aime par-dessus : c’est Cora. Cora, c’est son cosmos, la reine des orphelins, celle pour qui son cœur bat plus fort que la mesure et déraille plus vite qu’un train lancé contre un mur.
Ça se passe à Denver, et ça, Denver, ne le pardonne pas.
Roman plein de respect et d’empathie pour les sans-noms, les laissés-de-côté, les gueules fracassées. Une tragédie épique, comme la remontée des flots par un groupe armé de ce courage là : transpercer les rois.
Les dynamiteurs, c’est du noir à cent pour cent, violent, intense et intransigeant. Mais c’est du noir comme on l’aime, avec une idée dedans : celle-là de déplacer le camp des héros.