Les dits d'Henri d'Andeli suivis de deux versions du Mariage des Septs Arts
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages125
- PrésentationBroché
- Poids0.085 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 0,7 cm
- ISBN2-7453-0900-5
- EAN9782745309006
- Date de parution01/01/2003
- CollectionTraductions des classiques
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Le XIIIe siècle voit se développer une tendance " cléricale " de la littérature vulgaire profane, qui se donne pour tâche de remettre en question, souvent avec humour, les catégories du savoir médiéval. Si Rutebeuf et Jean de Meun sont des représentants bien connus de cette poétique, d'autres auteurs de la même mouvance méritent d'être relus, en particulier Henri d'Andeli, qui, d'une génération plus âgé que Rutebeuf, pourrait bien être l'un des initiateurs de ce mouvement.
On trouvera ici, traduits et commentés, les quatre Dits qui lui sont attribués (dont le fameux Lai d'Aristote), ainsi que deux versions du Mariage des Sept Arts, poèmes figurant probablement, sans préjudice d'enjeux plus sérieux qui ont pu en déterminer l'écriture, parmi les plus anciennes et les plus réjouissantes productions de l'humour estudiantin.
On trouvera ici, traduits et commentés, les quatre Dits qui lui sont attribués (dont le fameux Lai d'Aristote), ainsi que deux versions du Mariage des Sept Arts, poèmes figurant probablement, sans préjudice d'enjeux plus sérieux qui ont pu en déterminer l'écriture, parmi les plus anciennes et les plus réjouissantes productions de l'humour estudiantin.
Le XIIIe siècle voit se développer une tendance " cléricale " de la littérature vulgaire profane, qui se donne pour tâche de remettre en question, souvent avec humour, les catégories du savoir médiéval. Si Rutebeuf et Jean de Meun sont des représentants bien connus de cette poétique, d'autres auteurs de la même mouvance méritent d'être relus, en particulier Henri d'Andeli, qui, d'une génération plus âgé que Rutebeuf, pourrait bien être l'un des initiateurs de ce mouvement.
On trouvera ici, traduits et commentés, les quatre Dits qui lui sont attribués (dont le fameux Lai d'Aristote), ainsi que deux versions du Mariage des Sept Arts, poèmes figurant probablement, sans préjudice d'enjeux plus sérieux qui ont pu en déterminer l'écriture, parmi les plus anciennes et les plus réjouissantes productions de l'humour estudiantin.
On trouvera ici, traduits et commentés, les quatre Dits qui lui sont attribués (dont le fameux Lai d'Aristote), ainsi que deux versions du Mariage des Sept Arts, poèmes figurant probablement, sans préjudice d'enjeux plus sérieux qui ont pu en déterminer l'écriture, parmi les plus anciennes et les plus réjouissantes productions de l'humour estudiantin.

















