Gaspard Koenig dirige le think-tank Génération Libre. Il est l'auteur de romans et d'essais.
Les discrètes vertus de la corruption
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- Nombre de pages281
- PrésentationBroché
- Poids0.255 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-246-70671-7
- EAN9782246706717
- Date de parution14/10/2009
- ÉditeurGrasset
Résumé
Personne n'échappe à la corruption. Elle traverse les époques et les sociétés avec son lot constant de scandales et d'indignation. Les journalistes en trouvent chaque jour un nouvel exemple, et les livres d'histoire en portent partout la marque. En philosophe, Gaspard Koenig part sur ses traces. Parcourant des domaines aussi divers que la littérature, l'histoire, le cinéma ou l'art contemporain, il rencontre ceux qui la pratiquent, de Talleyrand à Mobutu; ceux qui la critiquent, de Juvénal à Chomsky; ceux qui la subliment, de Balzac à Francis Ford Coppola.
Au fil de cette recherche, la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais des vertus essentielles. Car la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. Au XVIIIe siècle, le philosophe Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles, imaginait une ruche que la corruption rendait active et prospère. Aurait-il eu raison?
Au fil de cette recherche, la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais des vertus essentielles. Car la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. Au XVIIIe siècle, le philosophe Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles, imaginait une ruche que la corruption rendait active et prospère. Aurait-il eu raison?
Personne n'échappe à la corruption. Elle traverse les époques et les sociétés avec son lot constant de scandales et d'indignation. Les journalistes en trouvent chaque jour un nouvel exemple, et les livres d'histoire en portent partout la marque. En philosophe, Gaspard Koenig part sur ses traces. Parcourant des domaines aussi divers que la littérature, l'histoire, le cinéma ou l'art contemporain, il rencontre ceux qui la pratiquent, de Talleyrand à Mobutu; ceux qui la critiquent, de Juvénal à Chomsky; ceux qui la subliment, de Balzac à Francis Ford Coppola.
Au fil de cette recherche, la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais des vertus essentielles. Car la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. Au XVIIIe siècle, le philosophe Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles, imaginait une ruche que la corruption rendait active et prospère. Aurait-il eu raison?
Au fil de cette recherche, la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais des vertus essentielles. Car la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. Au XVIIIe siècle, le philosophe Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles, imaginait une ruche que la corruption rendait active et prospère. Aurait-il eu raison?