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- Nombre de pages112
- FormatPoche
- Poids0.105 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7103-0848-7
- EAN9782710308485
- Date de parution05/03/1998
- CollectionLa petite Vermillon
- ÉditeurTable Ronde (La)
Résumé
«J'ai imaginé un petit roman quui m'amuserait beaucoup. Le héros de l'histoire serait absurde et tout à fait dans mes goûts... Ce sera désolant sous un aspect ridicule. Mon personnage est définitivement employé de ministère. Il habite mon ancienne chambre de la rue du Bac, en face de Petit Saint-Thomas, sous l'obsession d'un plafond trop bas. Il s'ennuie mortellement par faute d'imagination, mais est résigné à sa médiocrité.
Pour essayer de se distraire, il emploie tout un dimanche à suivre les conseils de plusieurs prospectus qu'on lui a donnés dans la rue. Le matin, il prend un bain chaud, avec massage par les aveugles, rue Monge. Puis il se fait couper les cheveux dans un "lavatory rationnel" de la rue Montmartre. Puis il déjeune rue de Vaugirard dans un restaurant végétarien anti-alcoolique. Puis il consulte un somnambule.
Puis il va au cinématographe. Il dîne enfin au champagne à 2 fr. 75 aux environs de la barrière du Trône et finit sa soirée en écoutant une conférence gratuite avec auditions musicales chez un pharmacien près de la Gare du Nord. Je n'ai même pas la peine d'inventer.» Jean de La Ville de Mirmont, Lettre à sa mère.
Pour essayer de se distraire, il emploie tout un dimanche à suivre les conseils de plusieurs prospectus qu'on lui a donnés dans la rue. Le matin, il prend un bain chaud, avec massage par les aveugles, rue Monge. Puis il se fait couper les cheveux dans un "lavatory rationnel" de la rue Montmartre. Puis il déjeune rue de Vaugirard dans un restaurant végétarien anti-alcoolique. Puis il consulte un somnambule.
Puis il va au cinématographe. Il dîne enfin au champagne à 2 fr. 75 aux environs de la barrière du Trône et finit sa soirée en écoutant une conférence gratuite avec auditions musicales chez un pharmacien près de la Gare du Nord. Je n'ai même pas la peine d'inventer.» Jean de La Ville de Mirmont, Lettre à sa mère.
«J'ai imaginé un petit roman quui m'amuserait beaucoup. Le héros de l'histoire serait absurde et tout à fait dans mes goûts... Ce sera désolant sous un aspect ridicule. Mon personnage est définitivement employé de ministère. Il habite mon ancienne chambre de la rue du Bac, en face de Petit Saint-Thomas, sous l'obsession d'un plafond trop bas. Il s'ennuie mortellement par faute d'imagination, mais est résigné à sa médiocrité.
Pour essayer de se distraire, il emploie tout un dimanche à suivre les conseils de plusieurs prospectus qu'on lui a donnés dans la rue. Le matin, il prend un bain chaud, avec massage par les aveugles, rue Monge. Puis il se fait couper les cheveux dans un "lavatory rationnel" de la rue Montmartre. Puis il déjeune rue de Vaugirard dans un restaurant végétarien anti-alcoolique. Puis il consulte un somnambule.
Puis il va au cinématographe. Il dîne enfin au champagne à 2 fr. 75 aux environs de la barrière du Trône et finit sa soirée en écoutant une conférence gratuite avec auditions musicales chez un pharmacien près de la Gare du Nord. Je n'ai même pas la peine d'inventer.» Jean de La Ville de Mirmont, Lettre à sa mère.
Pour essayer de se distraire, il emploie tout un dimanche à suivre les conseils de plusieurs prospectus qu'on lui a donnés dans la rue. Le matin, il prend un bain chaud, avec massage par les aveugles, rue Monge. Puis il se fait couper les cheveux dans un "lavatory rationnel" de la rue Montmartre. Puis il déjeune rue de Vaugirard dans un restaurant végétarien anti-alcoolique. Puis il consulte un somnambule.
Puis il va au cinématographe. Il dîne enfin au champagne à 2 fr. 75 aux environs de la barrière du Trône et finit sa soirée en écoutant une conférence gratuite avec auditions musicales chez un pharmacien près de la Gare du Nord. Je n'ai même pas la peine d'inventer.» Jean de La Ville de Mirmont, Lettre à sa mère.
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