Les devoirs du mari
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- Nombre de pages158
- PrésentationBroché
- Poids0.21 kg
- Dimensions13,7 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-296-12844-6
- EAN9782296128446
- Date de parution01/09/2010
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurPierre de Changy
- PostfacierAmélie Adde
Résumé
Publié quelques années après L'éducation de la femme chrétienne (1523), le traité intitulé Les devoirs du mari (1529) en est le complément immédiat. Rédigé à la demande d'amis très proches, il explique les principes d'une existence paisible, comment il faut se comporter si on veut vivre sagement, en bon chrétien certes, mais aussi en époux honnête. Ému par la dureté misogyne des temps, il invite les maris au respect, à la confiance et surtout à la tendresse. A travers des conseils ponctuels, Vivès leur indique comment ils doivent se comporter avec leur épouse s'ils veulent en faire une alliée et une amie et non une esclave. Si Vivès ne rompt pas avec l'image traditionnelle de la famille patriarcale, fortement hiérarchisée, il en propose cependant une conception équilibrée. Si, dans le couple, la femme vient encore en second (modèle religieux et médecine humoriste obligent), elle n'est plus secondaire, loin s'en faut. Le mari a, lui aussi, des devoirs qu'il ne saurait oublier sans se méprendre.
Publié quelques années après L'éducation de la femme chrétienne (1523), le traité intitulé Les devoirs du mari (1529) en est le complément immédiat. Rédigé à la demande d'amis très proches, il explique les principes d'une existence paisible, comment il faut se comporter si on veut vivre sagement, en bon chrétien certes, mais aussi en époux honnête. Ému par la dureté misogyne des temps, il invite les maris au respect, à la confiance et surtout à la tendresse. A travers des conseils ponctuels, Vivès leur indique comment ils doivent se comporter avec leur épouse s'ils veulent en faire une alliée et une amie et non une esclave. Si Vivès ne rompt pas avec l'image traditionnelle de la famille patriarcale, fortement hiérarchisée, il en propose cependant une conception équilibrée. Si, dans le couple, la femme vient encore en second (modèle religieux et médecine humoriste obligent), elle n'est plus secondaire, loin s'en faut. Le mari a, lui aussi, des devoirs qu'il ne saurait oublier sans se méprendre.



