Les deux Victor. Hugo, Pavie : une amitié romantique & correspondance inédite

Par : Guy Trigalot
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  • Nombre de pages380
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.644 kg
  • Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-7535-7314-7
  • EAN9782753573147
  • Date de parution05/04/2018
  • CollectionMémoire commune
  • ÉditeurPU Rennes
  • PréfacierPhilippe Moine
  • PréfacierJean-Marc Hovasse

Résumé

Bien plus qu'un simple "faire-valoir", Victor Pavie fut le dépositaire des projets du jeune Victor Hugo, le fidèle et absolu disciple des tout premiers combats : de la Préface de Cromwell à la Bataille d'Hernani. Il aurait pu endosser avec fierté le statut de "lieutenant" de la révolution romantique, quasiment à égalité avec Sainte-Beuve, si son caractère tourmenté et ses doutes permanents ne l'en avaient empêché.
Il partagea le quotidien, les souffrances et les joies des Hugo, à Paris quand il y faisait ses études, comme d'Angers où il était retourné. Adèle Hugo et Léopoldine vinrent à son mariage. Hugo pensa même un moment s'installer en Anjou, dans un petit château repéré par Pavie. Grâce à la découverte d'une importante somme de lettres inédites, les liens passionnés et intimes entre Victor Hugo et Victor Pavie bénéficient d'un éclairage nouveau.
Cette correspondance enrichit l'histoire du romantisme et permet de corriger quelques malentendus concernant les relations (forcément dissymétriques) entre les deux Victor, le premier : auteur majeur de la nouvelle école littéraire, le second : membre de la légion méconnue des auteurs mineurs. Elle atteste, en tout cas, de leur amitié particulière basée sur l'intensité du lien créé durant leur jeunesse.
Préface de Jean-Marc Hovasse
Bien plus qu'un simple "faire-valoir", Victor Pavie fut le dépositaire des projets du jeune Victor Hugo, le fidèle et absolu disciple des tout premiers combats : de la Préface de Cromwell à la Bataille d'Hernani. Il aurait pu endosser avec fierté le statut de "lieutenant" de la révolution romantique, quasiment à égalité avec Sainte-Beuve, si son caractère tourmenté et ses doutes permanents ne l'en avaient empêché.
Il partagea le quotidien, les souffrances et les joies des Hugo, à Paris quand il y faisait ses études, comme d'Angers où il était retourné. Adèle Hugo et Léopoldine vinrent à son mariage. Hugo pensa même un moment s'installer en Anjou, dans un petit château repéré par Pavie. Grâce à la découverte d'une importante somme de lettres inédites, les liens passionnés et intimes entre Victor Hugo et Victor Pavie bénéficient d'un éclairage nouveau.
Cette correspondance enrichit l'histoire du romantisme et permet de corriger quelques malentendus concernant les relations (forcément dissymétriques) entre les deux Victor, le premier : auteur majeur de la nouvelle école littéraire, le second : membre de la légion méconnue des auteurs mineurs. Elle atteste, en tout cas, de leur amitié particulière basée sur l'intensité du lien créé durant leur jeunesse.
Préface de Jean-Marc Hovasse