Les derniers tisserands. Du Berry au Bourbonnais, résistance et agonie

Par : Claude Ferrieux
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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-84712-140-7
  • EAN9782847121407
  • Date de parution01/09/2007
  • ÉditeurPetit Pavé (Editions Le)

Résumé

Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l'artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d'uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l'Eglise orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns...
ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n'avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C'est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d'activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l'auteur : les écrits d'Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l'avènement du Second Empire.
Le métier à tisser automatique fut une merveilleuse invention, en 1805, du Lyonnais Joseph Marie Jacquard. Utilisant une technique nouvelle de cartes perforées, il allait révolutionner l'artisanat textile, engendrer la prospérité des soyeux et de leurs confections prestigieuses : galons, parements d'uniformes au service des cours royales et des armées, étoles pour l'Eglise orthodoxe, etc. Il fit le bonheur des uns...
ruinant les autres, petits tisserands du Berry qui vivaient modestement de la confection de toiles communes et n'avaient aucun moyen de réaliser de coûteux investissements. C'est leur lente agonie tout au long du XIXe siècle, que Claude Ferrieux a voulu décrire : elle aboutira à des mutations d'activité et au départ de ses aïeux vers le Bourbonnais et les mines de Buxières. Cette histoire romancée, qui débute avec les campagnes napoléoniennes, repose sur une documentation précise laissée par les ascendants de l'auteur : les écrits d'Eugène Ferrieux, et les recherches réalisées pendant de nombreuses années aux Archives de Bourges par Jules Ferrieux, à propos des troubles politiques et de leur répression à l'avènement du Second Empire.
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