Les derniers otages. Lettres de fusillés

Par : Thomas Fontaine
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  • Nombre de pages95
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.356 kg
  • Dimensions18,2 cm × 24,1 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-7373-8895-8
  • EAN9782737388958
  • Date de parution09/12/2024
  • ÉditeurOuest-France

Résumé

Le 2 octobre 1943, cinquante hommes sont fusillés au Mont-Valérien. Ce sont les derniers otages exécutés dans le cadre de la politique des otages, mise en place par les Allemands à l'été 1941, suspendue à l'automne 1942, et réactivée ce 2 octobre 1943, pour terroriser la population française et réprimer les actions de la Résistance. Le destin de ces 50 hommes a basculé quelques jours plus tôt, après un attentat du groupe de Francs-tireurs et partisans de la Main-d'oeuvre immigrée (FTP-MOI) dirigé par Missak Manouchian.
En plein Paris, Julius Ritter, organisateur en France des réquisitions du Travail obligatoire, est abattu. Berlin demande des représailles exceptionnelles. Comment ces cinquante hommes furent-ils choisis, alors qu'ils ne correspondaient pas tous au profil des communistes et des Juifs, les "Judéo-Bolcheviques", retenus en 1941-1942 pour désigner les otages ? Qui étaient ces "derniers otages" ? Quels furent leurs derniers mots, alors que les nazis leur refusèrent sans doute le droit d'écrire une dernière lettre ou détruisirent ces feuillets fragiles, comme une dernière infamie.
En publiant ces derniers messages, ceux retrouvés dans leurs lettres écrites alors qu'ils pensaient être déportés et les mots inscrits sur les murs de la chapelle du Mont-Valérien quelques minutes avant leur exécution, ce livre rappelle leur combat et leur rend hommage.
Le 2 octobre 1943, cinquante hommes sont fusillés au Mont-Valérien. Ce sont les derniers otages exécutés dans le cadre de la politique des otages, mise en place par les Allemands à l'été 1941, suspendue à l'automne 1942, et réactivée ce 2 octobre 1943, pour terroriser la population française et réprimer les actions de la Résistance. Le destin de ces 50 hommes a basculé quelques jours plus tôt, après un attentat du groupe de Francs-tireurs et partisans de la Main-d'oeuvre immigrée (FTP-MOI) dirigé par Missak Manouchian.
En plein Paris, Julius Ritter, organisateur en France des réquisitions du Travail obligatoire, est abattu. Berlin demande des représailles exceptionnelles. Comment ces cinquante hommes furent-ils choisis, alors qu'ils ne correspondaient pas tous au profil des communistes et des Juifs, les "Judéo-Bolcheviques", retenus en 1941-1942 pour désigner les otages ? Qui étaient ces "derniers otages" ? Quels furent leurs derniers mots, alors que les nazis leur refusèrent sans doute le droit d'écrire une dernière lettre ou détruisirent ces feuillets fragiles, comme une dernière infamie.
En publiant ces derniers messages, ceux retrouvés dans leurs lettres écrites alors qu'ils pensaient être déportés et les mots inscrits sur les murs de la chapelle du Mont-Valérien quelques minutes avant leur exécution, ce livre rappelle leur combat et leur rend hommage.