Les dernières heures de Guernica

Par : Gordon Thomas, Max Morgan-Witts
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  • Nombre de pages344
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-84736-225-1
  • EAN9782847362251
  • Date de parution22/02/2007
  • ÉditeurNouveau Monde
  • TraducteurMarianne Véron

Résumé

Un an après le début de la guerre d'Espagne, le 26 avril 1937, les avions de la Légion Condor décollent. Le chef d'état-major allemand décide de bombarder Guernica, une petite ville basque de 7 000 habitants, jugée d'importance stratégique. Ordre est donné de mitrailler et lâcher les bombes, " sans égard pour la population civile ". Les bombardiers et les chasseurs attaquent la ville un jour de marché, de 16h30 à 18h00, en employant pour la première fois des bombes incendiaires. Les deux tiers des maisons, la plupart en bois, sont détruites. A la faveur de ce bombardement, les nazis mettent au point une stratégie de terreur qu'ils réemploient pendant la Seconde Guerre mondiale : le sinistre sifflement des stukas. Après deux ans d'enquête, les auteurs ont reconstitué, minute après minute, les dernières heures de Guernica. Grâce à leurs talents d'historien et d'écrivain, le lecteur se trouve lui aussi sur les lieux : deux religieuses sont en observation sur le toit du couvent des carmélites, dans lequel un hôpital de fortune fonctionne jour et nuit, des enfants jouent sur la place du marché quand, à l'horizon, apparaît l'escadrille des Heinkel-111, puis celle des Junker-52...
Un an après le début de la guerre d'Espagne, le 26 avril 1937, les avions de la Légion Condor décollent. Le chef d'état-major allemand décide de bombarder Guernica, une petite ville basque de 7 000 habitants, jugée d'importance stratégique. Ordre est donné de mitrailler et lâcher les bombes, " sans égard pour la population civile ". Les bombardiers et les chasseurs attaquent la ville un jour de marché, de 16h30 à 18h00, en employant pour la première fois des bombes incendiaires. Les deux tiers des maisons, la plupart en bois, sont détruites. A la faveur de ce bombardement, les nazis mettent au point une stratégie de terreur qu'ils réemploient pendant la Seconde Guerre mondiale : le sinistre sifflement des stukas. Après deux ans d'enquête, les auteurs ont reconstitué, minute après minute, les dernières heures de Guernica. Grâce à leurs talents d'historien et d'écrivain, le lecteur se trouve lui aussi sur les lieux : deux religieuses sont en observation sur le toit du couvent des carmélites, dans lequel un hôpital de fortune fonctionne jour et nuit, des enfants jouent sur la place du marché quand, à l'horizon, apparaît l'escadrille des Heinkel-111, puis celle des Junker-52...