Les dépossédés de l'open space. Une critique écologique du travail

Par : Fanny Lederlin
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  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-13-082464-0
  • EAN9782130824640
  • Date de parution11/03/2020
  • ÉditeurPUF

Résumé

Quel est le point commun entre une employée, un start upper, une aide soignante et un livreur à vélo ? Tous subissent les nouvelles modalités de travail imposées par la digitalisation, la robotisation et les méthodes contemporaines de management. Partout, le "néotravail" étend son emprise : du bureau au domicile en passant par la rue et les cafés, notre open space s'est élargi, et nous ne pouvons plus échapper aux injonctions à "aller plus vite", à nous "adapter" et à nous "engager à fond dans nos projets".
Des effets dé-socialisants du travail à la tâche aux ressorts totalitaires du jargon d'entreprise, de la fragilisation du droit du travail à la dégradation environnementale et existentielle provoquée par les pratiques d'externalisation, l'auteur dresse un réquisitoire implacable contre ce néotravail qui nous dépossède des autres, de nous-mêmes, de la nature et du monde. Mais peut-être est-il encore temps de reconquérir notre travail pour bâtir une société plus juste et plus viable, une société plus écologique ?
Quel est le point commun entre une employée, un start upper, une aide soignante et un livreur à vélo ? Tous subissent les nouvelles modalités de travail imposées par la digitalisation, la robotisation et les méthodes contemporaines de management. Partout, le "néotravail" étend son emprise : du bureau au domicile en passant par la rue et les cafés, notre open space s'est élargi, et nous ne pouvons plus échapper aux injonctions à "aller plus vite", à nous "adapter" et à nous "engager à fond dans nos projets".
Des effets dé-socialisants du travail à la tâche aux ressorts totalitaires du jargon d'entreprise, de la fragilisation du droit du travail à la dégradation environnementale et existentielle provoquée par les pratiques d'externalisation, l'auteur dresse un réquisitoire implacable contre ce néotravail qui nous dépossède des autres, de nous-mêmes, de la nature et du monde. Mais peut-être est-il encore temps de reconquérir notre travail pour bâtir une société plus juste et plus viable, une société plus écologique ?