Les coursives
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.065 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-492642-29-6
- EAN9782492642296
- Date de parution16/05/2025
- CollectionEnvers
- ÉditeurBlast
Résumé
Dans Les coursives, Meryem-Bahia Arfaoui consigne la mutation d'un quartier. A la démolition d'un des derniers grands bâtiments d'Empalot - celui portant peint le visage d'une chibania - répond l'édification d'une mémoire sensorielle et politique pour archiver l'histoire d'un quartier et de ses habitantes en prise à la destruction de leur espace. Face à l'exil et la disparition, ce recueil enquête le silence, la langue et l'enfance dans leur confrontation à la colonialité.
Un texte écrit depuis les coursives, imaginant les histoires comme des perspectives derrière les fenêtres, et annihilant, depuis la verticalité des immeubles, celle des oppressions systémiques.
Un texte écrit depuis les coursives, imaginant les histoires comme des perspectives derrière les fenêtres, et annihilant, depuis la verticalité des immeubles, celle des oppressions systémiques.
Dans Les coursives, Meryem-Bahia Arfaoui consigne la mutation d'un quartier. A la démolition d'un des derniers grands bâtiments d'Empalot - celui portant peint le visage d'une chibania - répond l'édification d'une mémoire sensorielle et politique pour archiver l'histoire d'un quartier et de ses habitantes en prise à la destruction de leur espace. Face à l'exil et la disparition, ce recueil enquête le silence, la langue et l'enfance dans leur confrontation à la colonialité.
Un texte écrit depuis les coursives, imaginant les histoires comme des perspectives derrière les fenêtres, et annihilant, depuis la verticalité des immeubles, celle des oppressions systémiques.
Un texte écrit depuis les coursives, imaginant les histoires comme des perspectives derrière les fenêtres, et annihilant, depuis la verticalité des immeubles, celle des oppressions systémiques.