Les comptes des consuls de Montferrand (1378-1385)

Par : R. Anthony Lodge
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  • Nombre de pages596
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.988 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,5 cm × 3,6 cm
  • ISBN978-2-35723-143-6
  • EAN9782357231436
  • Date de parution19/01/2019
  • CollectionEtudes et rencontres
  • ÉditeurEcole nationale des chartes

Résumé

Les archives médiévales de Montferrand sont parmi les plus riches du Midi de la France et conservent une série très fournie de comptes en langue d'oc, qui s'échelonnent du milieu du XIIIe siècle à la fin du XIVe siècle. Après avoir édité les registres couvrant les périodes 1259-1373, R. Anthony Lodge achève ici la publication d'une comptabilité consulaire exceptionnelle en éditant le dernier des registres rédigés en occitan d'Auvergne (1378-1385), avant que ces écrits administratifs n'adoptent la langue royale.
Ce volume est, de ce point de vue, capital pour comprendre les conditions de ce basculement idiomatique. La portée de cet ouvrage est double : il ouvre, dans la lignée des tomes précédents, des aperçus historiques indispensables à la compréhension de la vie et de la fiscalité urbaine au bas Moyen Age et constitue par ailleurs une source de l'histoire de la langue occitane, tant pour sa variation que pour l'étude des contacts entre français et occitan.
Ces comptes sont ainsi une mine pour les philologues et occitanistes, et offrent un matériau inédit pour les historiens de l'Auvergne.
Les archives médiévales de Montferrand sont parmi les plus riches du Midi de la France et conservent une série très fournie de comptes en langue d'oc, qui s'échelonnent du milieu du XIIIe siècle à la fin du XIVe siècle. Après avoir édité les registres couvrant les périodes 1259-1373, R. Anthony Lodge achève ici la publication d'une comptabilité consulaire exceptionnelle en éditant le dernier des registres rédigés en occitan d'Auvergne (1378-1385), avant que ces écrits administratifs n'adoptent la langue royale.
Ce volume est, de ce point de vue, capital pour comprendre les conditions de ce basculement idiomatique. La portée de cet ouvrage est double : il ouvre, dans la lignée des tomes précédents, des aperçus historiques indispensables à la compréhension de la vie et de la fiscalité urbaine au bas Moyen Age et constitue par ailleurs une source de l'histoire de la langue occitane, tant pour sa variation que pour l'étude des contacts entre français et occitan.
Ces comptes sont ainsi une mine pour les philologues et occitanistes, et offrent un matériau inédit pour les historiens de l'Auvergne.