Les cigales dans la mêlée. De Nîmes à la bataille de la Marne
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- Nombre de pages303
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.42 kg
- Dimensions14,7 cm × 20,8 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7504-3069-6
- EAN9782750430696
- Date de parution01/07/2012
- CollectionRediviva
- ÉditeurLacour (Editions)
- PréfacierHenry Bordeaux
Résumé
Frères de chair et d'idéal, cigales du terroir, vous avez porté haut le renom de notre Provence. Vous avez fait vibrer le ciel lorrain de vos rires, de vos cris et de vos plaintes. Vous avez dit notre pensée et fait aimer notre langage. Vous êtes les ambassadeurs de l'esprit provençal ; de votre patois vous avez signé la victoire. Cigales dans la mêlée, camarades aimés vous qui avez péri pour nous sauver, reposez doucement dans le suaire de nos mémoires.
Et vous, cigales du pays, insectes purs, immatériels, qui servez le culte de la joie et de la lumière, entonnez votre concert le plus vibrant pour que nos morts se réjouissent dans leurs tombes ! Charles Terrin, Avril 1924.
Et vous, cigales du pays, insectes purs, immatériels, qui servez le culte de la joie et de la lumière, entonnez votre concert le plus vibrant pour que nos morts se réjouissent dans leurs tombes ! Charles Terrin, Avril 1924.
Frères de chair et d'idéal, cigales du terroir, vous avez porté haut le renom de notre Provence. Vous avez fait vibrer le ciel lorrain de vos rires, de vos cris et de vos plaintes. Vous avez dit notre pensée et fait aimer notre langage. Vous êtes les ambassadeurs de l'esprit provençal ; de votre patois vous avez signé la victoire. Cigales dans la mêlée, camarades aimés vous qui avez péri pour nous sauver, reposez doucement dans le suaire de nos mémoires.
Et vous, cigales du pays, insectes purs, immatériels, qui servez le culte de la joie et de la lumière, entonnez votre concert le plus vibrant pour que nos morts se réjouissent dans leurs tombes ! Charles Terrin, Avril 1924.
Et vous, cigales du pays, insectes purs, immatériels, qui servez le culte de la joie et de la lumière, entonnez votre concert le plus vibrant pour que nos morts se réjouissent dans leurs tombes ! Charles Terrin, Avril 1924.
