Très déçu.
Autant les trois premiers tomes de la Trilogie du magicien noir sont inventifs et originaux, autant ces "chroniques" sont décevantes. Le scénario est maigre et farci d'invraisemblances, s'étend à longueur sur les états d'âmes des personnages, se traine interminablement en supposant l'imbécilité congénitale des responsables politiques des territoires alliés; propose une vision de "l'égalité" version révolution de 1917 où une moitié de l'humanité a juste le droit de suivre comme un toutou...
La fin est un couronnement d'invraisemblances où les principaux responsables "ennemis" restent totalement inactifs et passifs, avec une infériorité numérique telle qu'on comprend mal comment ils ont pu s'imposer aussi longtemps. Et le "grand soir" décrit joyeusement par l'auteur fait l'impasse totale sur les conséquences funestes de ce genre de situations qu'on a largement eu le temps d'expérimenter lors du XXème siècle.
Pour couronner le tout, l'auteur développe une vision très rudimentaire de la femme et encore plus de l'homme, et se vautre dans le politiquement correct de façon écoeurante.
A oublier.
Très déçu.
Autant les trois premiers tomes de la Trilogie du magicien noir sont inventifs et originaux, autant ces "chroniques" sont décevantes. Le scénario est maigre et farci d'invraisemblances, s'étend à longueur sur les états d'âmes des personnages, se traine interminablement en supposant l'imbécilité congénitale des responsables politiques des territoires alliés; propose une vision de "l'égalité" version révolution de 1917 où une moitié de l'humanité a juste le droit de suivre comme un toutou...
La fin est un couronnement d'invraisemblances où les principaux responsables "ennemis" restent totalement inactifs et passifs, avec une infériorité numérique telle qu'on comprend mal comment ils ont pu s'imposer aussi longtemps. Et le "grand soir" décrit joyeusement par l'auteur fait l'impasse totale sur les conséquences funestes de ce genre de situations qu'on a largement eu le temps d'expérimenter lors du XXème siècle.
Pour couronner le tout, l'auteur développe une vision très rudimentaire de la femme et encore plus de l'homme, et se vautre dans le politiquement correct de façon écoeurante.
A oublier.