Les Choses de Georges Perec ou l'économie du rêve
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.098 kg
- Dimensions12,7 cm × 19,2 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-38096-107-2
- EAN9782380961072
- Date de parution06/06/2024
- CollectionChampion Commentaires
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Premier livre publié de Georges Perec, Les Choses (1965, prix Renaudot) a d'abord valu à son auteur la réputation, évidemment abusive, de sociologue - à moins de préciser qu'il s'agit alors de sociologie du langage : tissé d'imaginaire, le roman entrelace rêves, rêveries et fantasmes - soit autant de discours dont l'économie donne son vrai fil conducteur à un récit où la consommation des marchandises tient en réalité très peu de place.
A cette rencontre des convoitises de l'après-guerre, de la critique marxiste de la société de consommation et de l'histoire de la prose réaliste tient sans doute la force esthétique singulière du petit roman de Perec, que sa brièveté semble alors constituer en véritable "miroir de concentration" d'une certaine poétique romanesque.
A cette rencontre des convoitises de l'après-guerre, de la critique marxiste de la société de consommation et de l'histoire de la prose réaliste tient sans doute la force esthétique singulière du petit roman de Perec, que sa brièveté semble alors constituer en véritable "miroir de concentration" d'une certaine poétique romanesque.
Premier livre publié de Georges Perec, Les Choses (1965, prix Renaudot) a d'abord valu à son auteur la réputation, évidemment abusive, de sociologue - à moins de préciser qu'il s'agit alors de sociologie du langage : tissé d'imaginaire, le roman entrelace rêves, rêveries et fantasmes - soit autant de discours dont l'économie donne son vrai fil conducteur à un récit où la consommation des marchandises tient en réalité très peu de place.
A cette rencontre des convoitises de l'après-guerre, de la critique marxiste de la société de consommation et de l'histoire de la prose réaliste tient sans doute la force esthétique singulière du petit roman de Perec, que sa brièveté semble alors constituer en véritable "miroir de concentration" d'une certaine poétique romanesque.
A cette rencontre des convoitises de l'après-guerre, de la critique marxiste de la société de consommation et de l'histoire de la prose réaliste tient sans doute la force esthétique singulière du petit roman de Perec, que sa brièveté semble alors constituer en véritable "miroir de concentration" d'une certaine poétique romanesque.