Sanyu face au modèle
Grand Format
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À paraître
Les chinois aux Beaux-Arts de Paris. Une histoire artistique et politique franco-chinoise du XXe siècle (1914-1955)
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- FormatGrand Format
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-36222-069-2
- EAN9782362220692
- Date de parution24/09/2025
- ÉditeurMare et Martin
Résumé
La Chine a largement puisé en France pour s'inventer un art moderne au début du XXe siècle. Mais contrairement aux Japonais inspirés par l'impressionnisme, les Chinois se tournèrent vers l'art académique. Les raisons de ce choix furent politiques? : la Chine voyait dans la République française et ses beaux-arts un modèle à suivre. En conséquence, l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris a reçu des dizaines d'élèves chinois au point de constituer entre-les-deux-guerres le contingent étranger le plus important en sections de peinture et de sculpture, loin devant les Américains.
Dans cette "vague chinoise" figurent les plus célèbres artistes chinois, de Xu Beihong et Lin Fengmian, à Zao Wou-ki et Wu Guanzhong – ainsi que beaucoup de femmes, telles Fan Junbi ou Pan Yuliang... L'ouvrage offre un analyse inédite basée sur le dépouillement complet des archives de l'Ecole des beaux-arts croisées avec toutes les sources chinoises disponibles. Sur un demi-siècle, l'auteur retrace les aventures individuelles et le destin collectif d'une jeunesse artistique venue en France contribuer à la Révolution chinoise.
Dans cette "vague chinoise" figurent les plus célèbres artistes chinois, de Xu Beihong et Lin Fengmian, à Zao Wou-ki et Wu Guanzhong – ainsi que beaucoup de femmes, telles Fan Junbi ou Pan Yuliang... L'ouvrage offre un analyse inédite basée sur le dépouillement complet des archives de l'Ecole des beaux-arts croisées avec toutes les sources chinoises disponibles. Sur un demi-siècle, l'auteur retrace les aventures individuelles et le destin collectif d'une jeunesse artistique venue en France contribuer à la Révolution chinoise.
La Chine a largement puisé en France pour s'inventer un art moderne au début du XXe siècle. Mais contrairement aux Japonais inspirés par l'impressionnisme, les Chinois se tournèrent vers l'art académique. Les raisons de ce choix furent politiques? : la Chine voyait dans la République française et ses beaux-arts un modèle à suivre. En conséquence, l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris a reçu des dizaines d'élèves chinois au point de constituer entre-les-deux-guerres le contingent étranger le plus important en sections de peinture et de sculpture, loin devant les Américains.
Dans cette "vague chinoise" figurent les plus célèbres artistes chinois, de Xu Beihong et Lin Fengmian, à Zao Wou-ki et Wu Guanzhong – ainsi que beaucoup de femmes, telles Fan Junbi ou Pan Yuliang... L'ouvrage offre un analyse inédite basée sur le dépouillement complet des archives de l'Ecole des beaux-arts croisées avec toutes les sources chinoises disponibles. Sur un demi-siècle, l'auteur retrace les aventures individuelles et le destin collectif d'une jeunesse artistique venue en France contribuer à la Révolution chinoise.
Dans cette "vague chinoise" figurent les plus célèbres artistes chinois, de Xu Beihong et Lin Fengmian, à Zao Wou-ki et Wu Guanzhong – ainsi que beaucoup de femmes, telles Fan Junbi ou Pan Yuliang... L'ouvrage offre un analyse inédite basée sur le dépouillement complet des archives de l'Ecole des beaux-arts croisées avec toutes les sources chinoises disponibles. Sur un demi-siècle, l'auteur retrace les aventures individuelles et le destin collectif d'une jeunesse artistique venue en France contribuer à la Révolution chinoise.
A propos de Philippe Cinquini