Les chevaliers

Par : Philippe Contamine

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  • Nombre de pages239
  • PrésentationBroché
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-84734-363-6
  • EAN9782847343632
  • Date de parution19/10/2006
  • ÉditeurTallandier

Résumé

Arthur, Lancelot, Perceval, Godefroy de Bouillon, Du Guesclin... Les chevaliers continuent de faire rêver plusieurs siècles après leur disparition. Cette fascination repose peut-être sur un malentendu. Les chevaliers sont-ils vraiment courtois, preux, héroïques, protecteurs de la veuve et de l'orphelin ? Ou bien des brutes guerrières, des pillards sans scrupule ? Tout commence vers l'An Mil, avec l'apparition de ces guerriers à cheval regroupés autour de leur seigneur.
Dans tout l'Occident s'imposent alors un modèle militaire et social, mais aussi un système de valeurs dont le pouvoir de séduction n'a pas faibli. Peu à peu, à partir du XIIe siècle, un idéal chevaleresque s'est fixé : honneur, largesse, courtoisie, loyauté, éloge de la prouesse. Des épopées, des romans le diffusent, le transforment, l'exaltent. Alors même que la puissance sociale des chevaliers s'efface et que leur raison d'être - le service armé des châtelains, leurs guerres privées - disparaît.
Un modèle de " perfection virile " demeure : celui du chevalier errant qui, tel Lancelot, court d'aventures en exploits. Celui du " bon chevalier sans peur et sans reproche " qui, tel Bayard, a fait rêver des générations d'enfants. Un modèle revisité par Hollywood : les héros de La Guerre des étoiles de George Lucas ne sont-ils pas encore des chevaliers ?
Arthur, Lancelot, Perceval, Godefroy de Bouillon, Du Guesclin... Les chevaliers continuent de faire rêver plusieurs siècles après leur disparition. Cette fascination repose peut-être sur un malentendu. Les chevaliers sont-ils vraiment courtois, preux, héroïques, protecteurs de la veuve et de l'orphelin ? Ou bien des brutes guerrières, des pillards sans scrupule ? Tout commence vers l'An Mil, avec l'apparition de ces guerriers à cheval regroupés autour de leur seigneur.
Dans tout l'Occident s'imposent alors un modèle militaire et social, mais aussi un système de valeurs dont le pouvoir de séduction n'a pas faibli. Peu à peu, à partir du XIIe siècle, un idéal chevaleresque s'est fixé : honneur, largesse, courtoisie, loyauté, éloge de la prouesse. Des épopées, des romans le diffusent, le transforment, l'exaltent. Alors même que la puissance sociale des chevaliers s'efface et que leur raison d'être - le service armé des châtelains, leurs guerres privées - disparaît.
Un modèle de " perfection virile " demeure : celui du chevalier errant qui, tel Lancelot, court d'aventures en exploits. Celui du " bon chevalier sans peur et sans reproche " qui, tel Bayard, a fait rêver des générations d'enfants. Un modèle revisité par Hollywood : les héros de La Guerre des étoiles de George Lucas ne sont-ils pas encore des chevaliers ?
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