Les chercheurs d'eau. Sourciers et géobiologues, une enquête ethnologique
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-8257-0663-9
- EAN9782825706633
- Date de parution01/12/1999
- ÉditeurGeorg (Editeur)
Résumé
L'acception communément admise lorsqu'on évoque le sourcier, c'est "celui-qui-cherche-de-l'eau". Elle n'est pas fausse, mais elle est insuffisante. Son "don" et la place que lui confère ce don font de lui un recours dès lors qu'une situation anormale et/ou pathologique est vécue, et qu'elle résiste à toute explication. Le sourcier est celui qui " sent " ce qui est invisible pour le commun des mortels. Il est celui qui cherche la
source, et la source n'est pas nécessairement liée à l'eau. Intermédiaire entre les mondes, messager des forces en présence, il est presque malgré lui un thérapeute. Même si ses lois sont rudes, la
nature est son alliée : à ceux qui savent la "sentir" elle fournit toutes les informations dont ils ont besoin. Les siècles passés ont assimilé sourcellerie, pratiques divinatoires et bluff. L'entrée en force de la géobiologie, approche qui se veut " scientifique ", fournira l'occasion au sourcier de s'affranchir de cette image. Bien qu'elle introduise de nouveaux concepts et un canevas explicatif au "ressenti" sourcier, elle n'est pourtant pas aussi éloignée qu'elle le voudrait des croyances et des pratiques non rationnelles. Dès lors le problème qui se pose actuellement au sourcier et au géobiologue est celui-ci : cette grille de lecture, tissée dans une juxtaposition d'éléments, peut-elle garantir la fiabilité nécessaire à une identification du problème et une action thérapeutique ? Certes, sourcellerie et géobiologie sont dorénavant indissolubles, mais la question reste entière : qu'est-ce qui fait de certains hommes des médiateurs, à l'instar de ce qui, dans d'autres cultures, est désigné par le terme "chaman"? Intriguée par ces phénomènes, l'auteure a été "initiée" à la pratique sourcière ; elle a expérimenté, observé, écrit. Voici ce qu'elle en dit, après plus de dix ans auprès des sourciers.
L'acception communément admise lorsqu'on évoque le sourcier, c'est "celui-qui-cherche-de-l'eau". Elle n'est pas fausse, mais elle est insuffisante. Son "don" et la place que lui confère ce don font de lui un recours dès lors qu'une situation anormale et/ou pathologique est vécue, et qu'elle résiste à toute explication. Le sourcier est celui qui " sent " ce qui est invisible pour le commun des mortels. Il est celui qui cherche la
source, et la source n'est pas nécessairement liée à l'eau. Intermédiaire entre les mondes, messager des forces en présence, il est presque malgré lui un thérapeute. Même si ses lois sont rudes, la
nature est son alliée : à ceux qui savent la "sentir" elle fournit toutes les informations dont ils ont besoin. Les siècles passés ont assimilé sourcellerie, pratiques divinatoires et bluff. L'entrée en force de la géobiologie, approche qui se veut " scientifique ", fournira l'occasion au sourcier de s'affranchir de cette image. Bien qu'elle introduise de nouveaux concepts et un canevas explicatif au "ressenti" sourcier, elle n'est pourtant pas aussi éloignée qu'elle le voudrait des croyances et des pratiques non rationnelles. Dès lors le problème qui se pose actuellement au sourcier et au géobiologue est celui-ci : cette grille de lecture, tissée dans une juxtaposition d'éléments, peut-elle garantir la fiabilité nécessaire à une identification du problème et une action thérapeutique ? Certes, sourcellerie et géobiologie sont dorénavant indissolubles, mais la question reste entière : qu'est-ce qui fait de certains hommes des médiateurs, à l'instar de ce qui, dans d'autres cultures, est désigné par le terme "chaman"? Intriguée par ces phénomènes, l'auteure a été "initiée" à la pratique sourcière ; elle a expérimenté, observé, écrit. Voici ce qu'elle en dit, après plus de dix ans auprès des sourciers.