Dans ce deuxième essai (le premier, Pierre Reverdy, le phare obscur était paru en 1984 chez Champ Vallon) Gérard Bocholier ponctue sa promenade dans le temps avec Reverdy (1889-1960) de méditations sur chacun de ses recueils, avec le regard d'amitié complice qui lui fait considérer toute la personne du poète : solitaire, secret, vivant retiré à Solesmes, il a en effet marqué en profondeur toute la création poétique contemporaine : proche des peintres cubistes, il témoigne en son temps d'une " transformation fondamentale de l'art ".
Chacun de ses poèmes élève la parole à la hauteur d'une véritable tragédie spirituelle, où la condition humaine se révèle à nu, dans un intemporel bouleversant. Avec lui, " on franchit l'émotion qui barre le chemin et sans se retourner on va toujours plus loin. "
Dans ce deuxième essai (le premier, Pierre Reverdy, le phare obscur était paru en 1984 chez Champ Vallon) Gérard Bocholier ponctue sa promenade dans le temps avec Reverdy (1889-1960) de méditations sur chacun de ses recueils, avec le regard d'amitié complice qui lui fait considérer toute la personne du poète : solitaire, secret, vivant retiré à Solesmes, il a en effet marqué en profondeur toute la création poétique contemporaine : proche des peintres cubistes, il témoigne en son temps d'une " transformation fondamentale de l'art ".
Chacun de ses poèmes élève la parole à la hauteur d'une véritable tragédie spirituelle, où la condition humaine se révèle à nu, dans un intemporel bouleversant. Avec lui, " on franchit l'émotion qui barre le chemin et sans se retourner on va toujours plus loin. "