Les carnets de Guantanamo

Par : Mohamedou Ould Slahi
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages446
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.7 kg
  • Dimensions16,1 cm × 24,1 cm × 3,8 cm
  • ISBN978-2-7499-2420-5
  • EAN9782749924205
  • Date de parution22/01/2015
  • ÉditeurMichel Lafon
  • TraducteurEric Betsch
  • PréfacierLarry Siems

Résumé

Au mépris de toutes les garanties prévues par la loi, mon pays m'a livré aux États-Unis, comme si j'étais une sucrerie. Les Américains m'ont envoyé en Jordanie pour y être torturé, puis à Bagram et enfin ici […]. Je vis hors du monde depuis plus de quatre ans. Mohamedou Slahi, Guantánamo, 13 décembre 2005 Emprisonné depuis août 2002 à Guantánamo, Mohamedou Ould Slahi n'a jamais été inculpé par la justice américaine.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.
Au mépris de toutes les garanties prévues par la loi, mon pays m'a livré aux États-Unis, comme si j'étais une sucrerie. Les Américains m'ont envoyé en Jordanie pour y être torturé, puis à Bagram et enfin ici […]. Je vis hors du monde depuis plus de quatre ans. Mohamedou Slahi, Guantánamo, 13 décembre 2005 Emprisonné depuis août 2002 à Guantánamo, Mohamedou Ould Slahi n'a jamais été inculpé par la justice américaine.
Et alors qu'un juge fédéral a ordonné sa libération, le gouvernement des États-Unis a décidé d'ignorer cette décision et ne donne aucun signe d'une quelconque volonté de lui rendre sa liberté. En 2005, trois ans après son arrestation, Mohamedou a commencé à rédiger un journal. Pendant des mois, il a écrit ses mémoires à la main, racontant sa vie avant de disparaître dans les limbes de Guantánamo, pour ce qu'il qualifie « d'interminable tour du monde » de la détention et des interrogatoires.
Son journal n'est pas seulement une chronique captivante d'un déni de justice, c'est aussi un récit profondément personnel : terrifiant, parfois férocement drôle, et d'une grande élégance. Publiés pour la première fois, Les Carnets de Guantánamo sont un document d'une importance historique unique.