Les Caprices de l’ami Théo. Comédie bourgeoise comportant cinq actes en dialecte bruxellois

Par : Jean-Paul Boyazis
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  • Nombre de pages158
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-87593-334-8
  • EAN9782875933348
  • Date de parution03/03/2022
  • CollectionThéâtre
  • ÉditeurSamsa (Editions)
  • PréfacierGeorges Lebouc

Résumé

Le public fit un accueil vibrant à cette pièce qui remplit la salle Molière d'Anderlecht pendant plusieurs soirées d'affilée en 2010. Le public reconnaissait d'emblée ce théâtre ! A N'y était-il pas question d'amours, comme dans Mademoiselle Beulemans, ainsi que d'un couple d'amis comme l'étaient à jamais Bossemans et Coppenolle ? A Et cet accent ? Presque tous les acteurs se devaient de parler le bruxellois, comme le faisaient déjà les principaux protagonistes des pièces citées plus haut.
A Le milieu social où se déroule la pièce rappele autre chose au public, puisque Théo est un commerçant bruxellois qui exerce le commerce de parapluies - Beulemans était un brasseur prospère et les deux compères avaient réussi, l'un en vendant des papiers peints l'autre dans la droguerie. A Il ne s'agit ici ni de "pastiche" , ni de "plagiat" ! Jean-Paul Boyazis aime et connaît les pièces qui ont précédé la sienne et sait mieux que quiconque que, comme l'affirmait Cocteau...
Le public fit un accueil vibrant à cette pièce qui remplit la salle Molière d'Anderlecht pendant plusieurs soirées d'affilée en 2010. Le public reconnaissait d'emblée ce théâtre ! A N'y était-il pas question d'amours, comme dans Mademoiselle Beulemans, ainsi que d'un couple d'amis comme l'étaient à jamais Bossemans et Coppenolle ? A Et cet accent ? Presque tous les acteurs se devaient de parler le bruxellois, comme le faisaient déjà les principaux protagonistes des pièces citées plus haut.
A Le milieu social où se déroule la pièce rappele autre chose au public, puisque Théo est un commerçant bruxellois qui exerce le commerce de parapluies - Beulemans était un brasseur prospère et les deux compères avaient réussi, l'un en vendant des papiers peints l'autre dans la droguerie. A Il ne s'agit ici ni de "pastiche" , ni de "plagiat" ! Jean-Paul Boyazis aime et connaît les pièces qui ont précédé la sienne et sait mieux que quiconque que, comme l'affirmait Cocteau...