Les biberons de malades. Approche sur la connaissance des "canards" de malades
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages244
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.96 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-9541226-2-5
- EAN9782954122625
- Date de parution01/10/2017
- CollectionDocuments de la Grésale
- ÉditeurDocuments de la Grésale
Résumé
Employé à des fins de commodité le biberon de malade, le " canard " comme il est dit familièrement, a disparu de notre environnement depuis un demi-siècle. Connu depuis les temps anciens il est aujourd'hui remplacé par de nouveaux objets à la fonction similaire, plus pratiques et mieux adaptés. Ce besoin de pouvoir alimenter un malade alité ou une personne en difficulté nous le retrouvons partout dans le monde.
Cependant, ce curieux objet se retrouve plus particulièrement en Europe et le Nouveau Monde. Nous ne le rencontrons guère que dans les musées ou dans les anciens Hôtel-Dieu et apothicaireries, où il est précieusement conservé. Néanmoins, l'Amateur le connait dans différents matériaux dont certains, comme l'or et l'argent, sont rares... Les plus courants sont modernes en terre blanche, porcelaine ou matière plastique, alors que les plus recherchés sont plus anciens en étain ou en faïence, parfois en verre.
Ils ont tous en commun, et c'est bien là le but, la particularité de permettre de boire facilement par aspiration et de ne pas renverser le liquide qu'ils contiennent.
Cependant, ce curieux objet se retrouve plus particulièrement en Europe et le Nouveau Monde. Nous ne le rencontrons guère que dans les musées ou dans les anciens Hôtel-Dieu et apothicaireries, où il est précieusement conservé. Néanmoins, l'Amateur le connait dans différents matériaux dont certains, comme l'or et l'argent, sont rares... Les plus courants sont modernes en terre blanche, porcelaine ou matière plastique, alors que les plus recherchés sont plus anciens en étain ou en faïence, parfois en verre.
Ils ont tous en commun, et c'est bien là le but, la particularité de permettre de boire facilement par aspiration et de ne pas renverser le liquide qu'ils contiennent.
Employé à des fins de commodité le biberon de malade, le " canard " comme il est dit familièrement, a disparu de notre environnement depuis un demi-siècle. Connu depuis les temps anciens il est aujourd'hui remplacé par de nouveaux objets à la fonction similaire, plus pratiques et mieux adaptés. Ce besoin de pouvoir alimenter un malade alité ou une personne en difficulté nous le retrouvons partout dans le monde.
Cependant, ce curieux objet se retrouve plus particulièrement en Europe et le Nouveau Monde. Nous ne le rencontrons guère que dans les musées ou dans les anciens Hôtel-Dieu et apothicaireries, où il est précieusement conservé. Néanmoins, l'Amateur le connait dans différents matériaux dont certains, comme l'or et l'argent, sont rares... Les plus courants sont modernes en terre blanche, porcelaine ou matière plastique, alors que les plus recherchés sont plus anciens en étain ou en faïence, parfois en verre.
Ils ont tous en commun, et c'est bien là le but, la particularité de permettre de boire facilement par aspiration et de ne pas renverser le liquide qu'ils contiennent.
Cependant, ce curieux objet se retrouve plus particulièrement en Europe et le Nouveau Monde. Nous ne le rencontrons guère que dans les musées ou dans les anciens Hôtel-Dieu et apothicaireries, où il est précieusement conservé. Néanmoins, l'Amateur le connait dans différents matériaux dont certains, comme l'or et l'argent, sont rares... Les plus courants sont modernes en terre blanche, porcelaine ou matière plastique, alors que les plus recherchés sont plus anciens en étain ou en faïence, parfois en verre.
Ils ont tous en commun, et c'est bien là le but, la particularité de permettre de boire facilement par aspiration et de ne pas renverser le liquide qu'ils contiennent.