"Ces impromptus, fruits de peu d'années, il y a vingt ans, ou hier peut-être, sont tirés d'un carnet où dorment des notes de voyages, de la Baltique à l'Italie, et des bribes de poèmes. Aussi bien, comme le dit le titre, des promenades fréquentes dans Avignon...Ces instants précaires, saisis dans l'embarras des formes brèves, n'en sont pas moins chers à celui qu'ils font revivre – qu'ils inventent.
Ce personnage secret, ce voyageur imprévisible, appelez-le Gérard Cartier si vous voulez." G. Cartier ; Cette suite poétique fait, d'une certaine manière, pendant au Voyage intérieur (2023) qui arpentait, en France, Les lieux privilégiés de l'auteur. Ici, c'est au tour du monde (Laos, Irlande, Italie...) qu'une certaine errance intérieure vagabonde par et dans le poème, toujours portée par la singulière métrique de Cartier...
A noter que les photographies d'Emmanuel Moses montrent toutes des affiches lacérées du métro.
"Ces impromptus, fruits de peu d'années, il y a vingt ans, ou hier peut-être, sont tirés d'un carnet où dorment des notes de voyages, de la Baltique à l'Italie, et des bribes de poèmes. Aussi bien, comme le dit le titre, des promenades fréquentes dans Avignon...Ces instants précaires, saisis dans l'embarras des formes brèves, n'en sont pas moins chers à celui qu'ils font revivre – qu'ils inventent.
Ce personnage secret, ce voyageur imprévisible, appelez-le Gérard Cartier si vous voulez." G. Cartier ; Cette suite poétique fait, d'une certaine manière, pendant au Voyage intérieur (2023) qui arpentait, en France, Les lieux privilégiés de l'auteur. Ici, c'est au tour du monde (Laos, Irlande, Italie...) qu'une certaine errance intérieure vagabonde par et dans le poème, toujours portée par la singulière métrique de Cartier...
A noter que les photographies d'Emmanuel Moses montrent toutes des affiches lacérées du métro.