Disponible d'occasion :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,7 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-264-07819-3
  • EAN9782264078193
  • Date de parution18/11/2021
  • CollectionDomaine policier
  • Éditeur10/18
  • TraducteurLaurence Romance

Résumé

" Vous êtes ici pour avouer le meurtre de votre femme. - C'est ça. - Il va falloir me convaincre. " Après Une Confession le nouveau face à face de John Wainwright Années 1980. Notable respecté d'une petite ville d'Angleterre où il exerce comme pharmacien, Herbert Grantley se présente un beau jour au commissariat. Il a une déclaration à faire. A l'inspecteur Lyle qui le reçoit, il avoue avoir tué sa femme, Norah, morte un an plus tôt de causes réputées naturelles.
Comme s'y est-il pris ? En l'empoisonnant au cyanure. Une version de l'histoire qui semble parfaite. Sauf que l'inspecteur Lyle n'est pas du tout convaincu. Mais si Grantley n'est pas coupable, pourquoi vient-il avouer ainsi ? C'est le début d'un long face-à-face entre les deux hommes. Un inspecteur et un suspect dans un bureau : John Wainwright reprend ici le dispositif qu'il avait adopté dans son roman dont Claude Miller a tiré Garde à vue , en l'inversant.
C'est cette fois au suspect de prouver à l'inspecteur dubitatif qu'il est coupable. PRESSE : " Un roman simenonien à souhait... Wainwright a énormément écrit. " Le Figaro Littéraire " Une psychologie unique... ce roman signé par un maître anglais... " La Marseillaise " Un roman noir d'une très grande intelligence... vous en sortirez emballés...
" Vous êtes ici pour avouer le meurtre de votre femme. - C'est ça. - Il va falloir me convaincre. " Après Une Confession le nouveau face à face de John Wainwright Années 1980. Notable respecté d'une petite ville d'Angleterre où il exerce comme pharmacien, Herbert Grantley se présente un beau jour au commissariat. Il a une déclaration à faire. A l'inspecteur Lyle qui le reçoit, il avoue avoir tué sa femme, Norah, morte un an plus tôt de causes réputées naturelles.
Comme s'y est-il pris ? En l'empoisonnant au cyanure. Une version de l'histoire qui semble parfaite. Sauf que l'inspecteur Lyle n'est pas du tout convaincu. Mais si Grantley n'est pas coupable, pourquoi vient-il avouer ainsi ? C'est le début d'un long face-à-face entre les deux hommes. Un inspecteur et un suspect dans un bureau : John Wainwright reprend ici le dispositif qu'il avait adopté dans son roman dont Claude Miller a tiré Garde à vue , en l'inversant.
C'est cette fois au suspect de prouver à l'inspecteur dubitatif qu'il est coupable. PRESSE : " Un roman simenonien à souhait... Wainwright a énormément écrit. " Le Figaro Littéraire " Une psychologie unique... ce roman signé par un maître anglais... " La Marseillaise " Un roman noir d'une très grande intelligence... vous en sortirez emballés...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Parfait polar.
Voilà un vrai polar. Ce nouveau titre de John Wainwright rassemble tous les ingrédients nécessaires pour un roman du genre, et le résultat est bien au-delà de ce que l’on peut en général trouver dans ce registre. Tout repose sur les protagonistes et sur l’ambiance qui entoure l’intrigue, et à la lecture des Aveux, on se rend compte que pour certains auteurs particulièrement talentueux, il n’en faut pas plus pour nous offrir une excellente histoire. Herbert Grantley se présente un matin au bureau de l’inspecteur Lyle pour avouer le meurtre de sa femme, Norah. Mais Lyle doute. Pour lui, quelque chose cloche. Et bien que Grantley maintienne qu’il a empoisonné son épouse, le policier, lui, décide de profiter de cette déposition spontanée pour faire toute la lumière sur cette affaire qui n’en était pas une. L’histoire débute ainsi, deux hommes qui s’affrontent dans un face à face aussi déroutant que surprenant pour l’un comme pour l’autre. Pourquoi ce policier refuse-t-il de croire cet homme ? Pourquoi Grantley vient-il subitement s’accuser d’un meurtre qui n’a absolument pas l’air d’en être un ? Quels sont les secrets camouflés derrière le rideau opaque de ce couple de petits bourgeois ? Alors, non, il n’y aura ni course poursuite, ni coups de feu. Pas de prise d’otages ou autres scènes d’action spectaculaire. John Wainwright n’a aucunement besoin de tous ces artifices pour nous prendre dans sa toile. Ni pour nous y maintenir fermement jusqu’à la dernière ligne. Et pourtant, malgré cette absence d’actions, le roman défile à une allure folle. Le lecteur, tout comme le pharmacien ou l’inspecteur, est pris dans cette confrontation comme s’il y assistait. La pression augmente page après page, de façon régulière et sans jamais faiblir. Pour arriver à un final en apothéose. Les Aveux est clairement un excellent polar. Un polar parfait même, de ceux que l’on oublie pas, de ceux dont on fait des films qui restent très longtemps en mémoire. Un polar « à l’ancienne », tout en subtilités et en nuances, comme on en voudrait plus. Une de mes meilleures lectures du genre, sûrement même LA meilleure de cette année dans cette catégorie. À lire sans hésiter !
Voilà un vrai polar. Ce nouveau titre de John Wainwright rassemble tous les ingrédients nécessaires pour un roman du genre, et le résultat est bien au-delà de ce que l’on peut en général trouver dans ce registre. Tout repose sur les protagonistes et sur l’ambiance qui entoure l’intrigue, et à la lecture des Aveux, on se rend compte que pour certains auteurs particulièrement talentueux, il n’en faut pas plus pour nous offrir une excellente histoire. Herbert Grantley se présente un matin au bureau de l’inspecteur Lyle pour avouer le meurtre de sa femme, Norah. Mais Lyle doute. Pour lui, quelque chose cloche. Et bien que Grantley maintienne qu’il a empoisonné son épouse, le policier, lui, décide de profiter de cette déposition spontanée pour faire toute la lumière sur cette affaire qui n’en était pas une. L’histoire débute ainsi, deux hommes qui s’affrontent dans un face à face aussi déroutant que surprenant pour l’un comme pour l’autre. Pourquoi ce policier refuse-t-il de croire cet homme ? Pourquoi Grantley vient-il subitement s’accuser d’un meurtre qui n’a absolument pas l’air d’en être un ? Quels sont les secrets camouflés derrière le rideau opaque de ce couple de petits bourgeois ? Alors, non, il n’y aura ni course poursuite, ni coups de feu. Pas de prise d’otages ou autres scènes d’action spectaculaire. John Wainwright n’a aucunement besoin de tous ces artifices pour nous prendre dans sa toile. Ni pour nous y maintenir fermement jusqu’à la dernière ligne. Et pourtant, malgré cette absence d’actions, le roman défile à une allure folle. Le lecteur, tout comme le pharmacien ou l’inspecteur, est pris dans cette confrontation comme s’il y assistait. La pression augmente page après page, de façon régulière et sans jamais faiblir. Pour arriver à un final en apothéose. Les Aveux est clairement un excellent polar. Un polar parfait même, de ceux que l’on oublie pas, de ceux dont on fait des films qui restent très longtemps en mémoire. Un polar « à l’ancienne », tout en subtilités et en nuances, comme on en voudrait plus. Une de mes meilleures lectures du genre, sûrement même LA meilleure de cette année dans cette catégorie. À lire sans hésiter !
Une confession
5/5
5/5
John Wainwright
E-book
7,49 €
Une confession
5/5
5/5
John Wainwright
Poche
8,60 €
Les aveux
5/5
John Wainwright
E-book
10,99 €
Les aveux
5/5
John Wainwright
Grand Format
20,00 €
En garde à vue
John Wainwright
Grand Format
10,00 €
Une confession
5/5
5/5
John Wainwright
Grand Format
20,00 €