Les aventures de Joseph Grimaldi

Par : Charles Dickens

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  • Nombre de pages375
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.505 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-84111-555-6
  • EAN9782841115556
  • Date de parution03/05/2012
  • ÉditeurNil (Editions)
  • TraducteurBernard Hoepffner
  • PréfacierAlberto Manguel
  • PostfacierEduardo Berti

Résumé

Voici un ouvrage de Dickens à peu près ignoré en France, qui fut partiellement traduit en 1951, dans une édition confidentielle, aujourd’hui épuisée et introuvable (Éditions du Globe, traduction du trapéziste Zemganno). L’histoire de ce manuscrit est assez surprenante, et c’est par un curieux détour que Dickens en devint l’auteur officiel : Le clown Grimaldi employa l’année qui précéda sa mort à rédiger l’histoire complète de sa vie, puis confia le volumineux manuscrit à un ami, qui s’appliqua à le condenser avant de le présenter à un premier éditeur.
Celui-ci, profitant de la liberté que lui rendait la mort de l’auteur, les porta immédiatement à Charles Dickens. Charles Dickens, en 1838, n’avait que vingt-cinq ans, mais sous le pseudonyme de « Boz » était déjà un auteur chéri du public. Les Sketches, publiés dans les journaux et magazines dont ils avaient fait le succès, les Pickwick Papers, si promptement populaires, avaient assis en trois ou quatre ans sa réputation.
Le propriétaire des Mémoires de Grimaldi eut donc toutes les raisons de penser qu’il en tirerait un excellent parti si Dickens les remaniait entièrement en y déployant sa simplicité un peu narquoise, sa bonhomie rusée, sa profonde connaissance des mœurs vulgaires, de l’argot populaire et des excentricités mal famées. Dickens, de son côté, sentit que c’était là pour sa plume un heureux sujet, et qu’elle ne dérogerait pas en s’associant aux souvenirs d’un clown, il est vrai, mais d’un clown comme on n’en avait guère vu jusqu’alors. La vie du grand Joe, son aventureuse carrière, nous livre en effet quelques-uns des plus curieux aspects des mœurs britanniques, de la vie de ses théâtres et de ses bas-fonds.
Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres dramatiques, des péripéties bizarres dans l’existence de ce comédien, semble s’être complu à lui faire un sort extraordinaire, et à le désigner ainsi doublement à l’attention des biographes. Et par bien des aspects, Dickens vit sans doute en cet enfant prodige et en cet artiste au coeur pur une sorte de double de lui-même.
Voici un ouvrage de Dickens à peu près ignoré en France, qui fut partiellement traduit en 1951, dans une édition confidentielle, aujourd’hui épuisée et introuvable (Éditions du Globe, traduction du trapéziste Zemganno). L’histoire de ce manuscrit est assez surprenante, et c’est par un curieux détour que Dickens en devint l’auteur officiel : Le clown Grimaldi employa l’année qui précéda sa mort à rédiger l’histoire complète de sa vie, puis confia le volumineux manuscrit à un ami, qui s’appliqua à le condenser avant de le présenter à un premier éditeur.
Celui-ci, profitant de la liberté que lui rendait la mort de l’auteur, les porta immédiatement à Charles Dickens. Charles Dickens, en 1838, n’avait que vingt-cinq ans, mais sous le pseudonyme de « Boz » était déjà un auteur chéri du public. Les Sketches, publiés dans les journaux et magazines dont ils avaient fait le succès, les Pickwick Papers, si promptement populaires, avaient assis en trois ou quatre ans sa réputation.
Le propriétaire des Mémoires de Grimaldi eut donc toutes les raisons de penser qu’il en tirerait un excellent parti si Dickens les remaniait entièrement en y déployant sa simplicité un peu narquoise, sa bonhomie rusée, sa profonde connaissance des mœurs vulgaires, de l’argot populaire et des excentricités mal famées. Dickens, de son côté, sentit que c’était là pour sa plume un heureux sujet, et qu’elle ne dérogerait pas en s’associant aux souvenirs d’un clown, il est vrai, mais d’un clown comme on n’en avait guère vu jusqu’alors. La vie du grand Joe, son aventureuse carrière, nous livre en effet quelques-uns des plus curieux aspects des mœurs britanniques, de la vie de ses théâtres et de ses bas-fonds.
Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres dramatiques, des péripéties bizarres dans l’existence de ce comédien, semble s’être complu à lui faire un sort extraordinaire, et à le désigner ainsi doublement à l’attention des biographes. Et par bien des aspects, Dickens vit sans doute en cet enfant prodige et en cet artiste au coeur pur une sorte de double de lui-même.
Charles Dickens
Charles Dickens, le plus grand romancier de l’époque victorienne, est né le 7 février 1812 à Landport dans l’Hampshire. Après une enfance de misère et de pauvreté, il n’est pas resté longtemps à l’école et a commencé à travailler dès l’âge de 12 ans en tant que colleur d’étiquettes sur des bouteilles chez Warren. Ayant axé la plupart de ses écrits sur la défense du droit de l’homme, il devint très vite célèbre grâce à ses œuvres finement particulières. La philosophie de ses ouvrages se fonde particulièrement sur le droit des enfants ; il plaide également pour l’éducation pour tous et le droit des femmes. Et c’est à juste titre qu’il publiera « Oliver Twist », un livre racontant la vie d’un jeune garçon orphelin en Angleterre au XIXe siècle. Appauvri et se laissant toujours mal traiter, il décide enfin de riposter et s’enfuit vers Londres où il connait une nouvelle vie pleine de surprises. Toujours pour la même cause, il a travaillé sur une œuvre intitulée « Les grandes espérances » dans laquelle il évoque une histoire et une moralité sur l’enfance et l’adolescence et où il fait alterner aussi bien les moments tristes qu’heureux de sa vie.
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