Et si la crise de la sensibilité au vivant que nous traversons était due à notre surdité envers les milles et unes voix de la Terre ? C'est l'hypothèse de l'écrivaine et naturaliste Caroline Audibert, qui est partie à la rencontre de celles et ceux pour qui bruissent encore les végétaux, les animaux et tous les éléments : les audionautes. Au fil de ses pérégrinations, des Alpes à l'Amazonie, de la taïga russe aux laboratoires high-tech et jusque dans les lieux les plus abîmés, ses oreilles s'ouvrent et l'engagent toujours plus avant dans une écologie du lien et de la réparation.
Et si la crise de la sensibilité au vivant que nous traversons était due à notre surdité envers les milles et unes voix de la Terre ? C'est l'hypothèse de l'écrivaine et naturaliste Caroline Audibert, qui est partie à la rencontre de celles et ceux pour qui bruissent encore les végétaux, les animaux et tous les éléments : les audionautes. Au fil de ses pérégrinations, des Alpes à l'Amazonie, de la taïga russe aux laboratoires high-tech et jusque dans les lieux les plus abîmés, ses oreilles s'ouvrent et l'engagent toujours plus avant dans une écologie du lien et de la réparation.