Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les Annales de Pétersbourg était le titre générique de la chronique dominicale d'un grand journal local, Les Nouvelles de Saint-Pétersbourg, qui...
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Les Annales de Pétersbourg était le titre générique de la chronique dominicale d'un grand journal local, Les Nouvelles de Saint-Pétersbourg, qui était confiée à différents auteurs. La mort soudaine de l'écrivain Gouber incita la rédaction à s'adresser, dans l'urgence, au jeune Pléchtchëiev, qui assurait une chronique dans un autre journal. Celui-ci, sans doute pris par le temps, demanda à son ami Dostoïevski de revoir sa première livraison (celle du 13 avril 1847), que ce dernier récrivit ou transforma radicalement, après quoi il se chargea seul des suivantes.
On retrouve dans ces feuilletons tous les thèmes chers au jeune Dostoïevski, thèmes qu'il ne cessera d'approfondir tout au long de son œuvre.
Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski est entré en littérature en janvier 1846 avec Les Pauvres Gens. Il est mort à Saint-Pétersbourg le 28 janvier 1881.