Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La confrérie des Aïssawa est un ordre mystico-religieux fondé à Meknès au Maroc par Muhammad ben Aïssâ (1465-1526), surnommé le " Maître Parfait...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
La confrérie des Aïssawa est un ordre mystico-religieux fondé à Meknès au Maroc par Muhammad ben Aïssâ (1465-1526), surnommé le " Maître Parfait " (Chaykh al-Kâmil). A l'origine clairement orthodoxe, la confrérie des Aïssawa est devenue un phénomène social complexe, à la charnière du sacré et du profane, du domaine privé et public et des cultures savantes et populaires. Les Aïssawa sont célèbres dans le monde arabe pour leur complexe cérémonie rituelle qui met en scène des danses symboliques amenant les participants à la transe, et aussi pour leur musique caractérisée par l'utilisation du hautbois, de chants collectifs d'hymnes religieux accompagnés par un orchestre de percussions utilisant des éléments de polyrythmie. Dans un Maroc traversé par une modernité conservatrice (l'islamisme politique) et une grave crise économique, cette confrérie cristallise les tensions et les contradictions de la société en raison de l'image stigmatisante que l'opinion majoritaire lui renvoie.
Mehdi Nabti, musicien et docteur de l'EHESS Paris en anthropologie sociale, est actuellement chercheur à la Chaire de recherche du Canada Islam-pluralisme-globalisation (CRC-IPG) de l'Université de Montréal.