Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Comme les deux livres précédents, consacrés à certains des plus beaux poèmes de Verlaine et de Baudelaire, cet ouvrage sur les Méditations poétiques...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
Comme les deux livres précédents, consacrés à certains des plus beaux poèmes de Verlaine et de Baudelaire, cet ouvrage sur les Méditations poétiques de Lamartine n'a pas pour but d'apporter des éléments biographiques, scientifiques ou critiques nouveaux sur un auteur abondamment scruté, et commenté de cent manières à l'aide de maintes disciplines, mais simplement de permettre au lecteur épris de poésie d'en goûter la beauté, au-delà de souvenirs scolaires plus ou moins lointains ; et pourquoi ne séduirait-il pas les étudiants ? Les analyses poétiques de ce grand " lecteur " qu'était Louis Aguettant sont d'autant plus précieuses qu'il est un musicien éminent ; il sait à merveille exalter la beauté poétique et musicale de Lamartine, par-delà une langue qui n'est pas toujours aussi accessible qu'elle en a l'air. Il disait, à propos de Mozart : " Méfions-nous des auteurs clairs ; quand ils ont du génie, ce sont souvent les grands impénétrables. " Il était sensible aussi bien à la fraîcheur de l'expression, du mot, du vers, qu'à l'envolée lyrique d'une ode.
Professeur de lettres françaises aux Facultés catholiques de Lyon, Louis Aguettant était considéré par Paul Valéry comme " un critique de premier ordre " et un " esprit de la plus grande rareté ".