Leçons indiennes. Itinéraires d'un historien : Delhi, Lisbonne, Paris, Los Angeles

Par : Sanjay Subrahmanyam
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  • Nombre de pages353
  • PrésentationBroché
  • Poids0.434 kg
  • Dimensions15,6 cm × 21,6 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-36279-139-0
  • EAN9782362791390
  • Date de parution26/02/2015
  • CollectionEssai Histoire
  • ÉditeurAlma Editeur
  • TraducteurJacques Dalarun

Résumé

Né à New Delhi en 1961 dans une famille de hauts fonctionnaires et d'intellectuels – son père fut un spécialiste influent des affaires de stratégie et de défense – Sanjay Subrahmanyam y a reçu sa formation universitaire, enseignant tout d'abord l'économie avant de se faire connaître par ses travaux sur l'histoire de l'Inde aux XVIe-XVIIIe siècles. C'est donc à partir de l'Inde qu'il a développé, en Europe et aux États-Unis, cette « histoire globale de la première modernité »  - titre de sa chaire au Collège de France – dont il reste le plus brillant représentant. Dans Pour une histoire globale, Sanjay Subrahmanyam réunit une vingtaine d'articles (1995-2012) destinés à un lectorat plus large que celui des seuls spécialistes.
Publiés dans des magazines, des hebdomadaires ou des quotidiens en Inde mais aussi en Europe et aux États-Unis, ils montrent l'historien au travail mais aussi l'observateur engagé de la vie politique et culturelle, toujours soucieux de « décentrer » son regard. Non pas pour offrir une approche universelle mais une perception multipolaire. Le lecteur voyage entre le passé et le présent, de Vasco de Gama jusqu'aux attentats du 11 septembre 2011.
L'historien revisite aussi bien les Thugs (adorateurs de Kali qui étranglaient leurs victimes avec un foulard) qu'Indiana Jones ; s'interroge sur la France des terroirs autant que sur Salman Rushdie ou V. S. Naipaul. Contestant la dérive actuelle de la notion de « civilisation », il met en cause avec brio les représentations nationalistes ou intégristes  - « le sentiment anti-science, anti moderne, et anti-technique » - à l'œuvre en Inde et dans le reste du monde.
Né à New Delhi en 1961 dans une famille de hauts fonctionnaires et d'intellectuels – son père fut un spécialiste influent des affaires de stratégie et de défense – Sanjay Subrahmanyam y a reçu sa formation universitaire, enseignant tout d'abord l'économie avant de se faire connaître par ses travaux sur l'histoire de l'Inde aux XVIe-XVIIIe siècles. C'est donc à partir de l'Inde qu'il a développé, en Europe et aux États-Unis, cette « histoire globale de la première modernité »  - titre de sa chaire au Collège de France – dont il reste le plus brillant représentant. Dans Pour une histoire globale, Sanjay Subrahmanyam réunit une vingtaine d'articles (1995-2012) destinés à un lectorat plus large que celui des seuls spécialistes.
Publiés dans des magazines, des hebdomadaires ou des quotidiens en Inde mais aussi en Europe et aux États-Unis, ils montrent l'historien au travail mais aussi l'observateur engagé de la vie politique et culturelle, toujours soucieux de « décentrer » son regard. Non pas pour offrir une approche universelle mais une perception multipolaire. Le lecteur voyage entre le passé et le présent, de Vasco de Gama jusqu'aux attentats du 11 septembre 2011.
L'historien revisite aussi bien les Thugs (adorateurs de Kali qui étranglaient leurs victimes avec un foulard) qu'Indiana Jones ; s'interroge sur la France des terroirs autant que sur Salman Rushdie ou V. S. Naipaul. Contestant la dérive actuelle de la notion de « civilisation », il met en cause avec brio les représentations nationalistes ou intégristes  - « le sentiment anti-science, anti moderne, et anti-technique » - à l'œuvre en Inde et dans le reste du monde.