L'aiguillon. Petit traité de la vie mystique
Grand Format
13,00 €
Le vrai Esprit du Carmel
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- Nombre de pages616
- PrésentationBroché
- Poids0.745 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 4,8 cm
- ISBN978-2-909271-74-3
- EAN9782909271743
- Date de parution01/09/2012
- CollectionSources mystiques
- ÉditeurParoisse et famille
- Auteur Père Donatien de Saint-Nicolas
- AuteurDominique Tronc
- Commentateur (texte)Max Huot de Longchamp
Résumé
Carme de la réforme dite " de Touraine ", frère convers aveugle, Jean de Saint-Samson (1571-1636) dictait, à la demande de ses supérieurs, son enseignement spirituel. Le Vrai Esprit du Carmel en est le résultat. On le trouvera dans ce volume tel que Donatien de Saint-Nicolas, disciple de Jean, l'a compilé et édité, mais également tel que les sources manuscrites nous le livrent. Du jaillissement brut à l'édition, le lecteur pourra ainsi apprécier le travail de Donatien.
L'oeuvre, très personnelle, impossible à résumer, est inclassable dans l'océan mystique de son époque, bien qu'on y remarque de fortes influences de la mystique du Nord. Elle nous fait découvrir en son auteur un très grand maître spirituel, de la classe d'un Eckhart ou d'un Jean de la Croix : ne l'a-t-on pas appelé le " Jean de la Croix français " ? Plongé en son " fond ", au-delà de lui-même et de tout le créé, avec " un appétit infini de Dieu et de la perfection ", le mystique cherche son Dieu au-dessus de toute distinction, de toute vertu, de toute science.
Passé en Dieu, transformé en lui, il " transcende " alors " toutes choses d'un très nu regard ", fixé sur la " beauté de son infini Objet ".
L'oeuvre, très personnelle, impossible à résumer, est inclassable dans l'océan mystique de son époque, bien qu'on y remarque de fortes influences de la mystique du Nord. Elle nous fait découvrir en son auteur un très grand maître spirituel, de la classe d'un Eckhart ou d'un Jean de la Croix : ne l'a-t-on pas appelé le " Jean de la Croix français " ? Plongé en son " fond ", au-delà de lui-même et de tout le créé, avec " un appétit infini de Dieu et de la perfection ", le mystique cherche son Dieu au-dessus de toute distinction, de toute vertu, de toute science.
Passé en Dieu, transformé en lui, il " transcende " alors " toutes choses d'un très nu regard ", fixé sur la " beauté de son infini Objet ".
Carme de la réforme dite " de Touraine ", frère convers aveugle, Jean de Saint-Samson (1571-1636) dictait, à la demande de ses supérieurs, son enseignement spirituel. Le Vrai Esprit du Carmel en est le résultat. On le trouvera dans ce volume tel que Donatien de Saint-Nicolas, disciple de Jean, l'a compilé et édité, mais également tel que les sources manuscrites nous le livrent. Du jaillissement brut à l'édition, le lecteur pourra ainsi apprécier le travail de Donatien.
L'oeuvre, très personnelle, impossible à résumer, est inclassable dans l'océan mystique de son époque, bien qu'on y remarque de fortes influences de la mystique du Nord. Elle nous fait découvrir en son auteur un très grand maître spirituel, de la classe d'un Eckhart ou d'un Jean de la Croix : ne l'a-t-on pas appelé le " Jean de la Croix français " ? Plongé en son " fond ", au-delà de lui-même et de tout le créé, avec " un appétit infini de Dieu et de la perfection ", le mystique cherche son Dieu au-dessus de toute distinction, de toute vertu, de toute science.
Passé en Dieu, transformé en lui, il " transcende " alors " toutes choses d'un très nu regard ", fixé sur la " beauté de son infini Objet ".
L'oeuvre, très personnelle, impossible à résumer, est inclassable dans l'océan mystique de son époque, bien qu'on y remarque de fortes influences de la mystique du Nord. Elle nous fait découvrir en son auteur un très grand maître spirituel, de la classe d'un Eckhart ou d'un Jean de la Croix : ne l'a-t-on pas appelé le " Jean de la Croix français " ? Plongé en son " fond ", au-delà de lui-même et de tout le créé, avec " un appétit infini de Dieu et de la perfection ", le mystique cherche son Dieu au-dessus de toute distinction, de toute vertu, de toute science.
Passé en Dieu, transformé en lui, il " transcende " alors " toutes choses d'un très nu regard ", fixé sur la " beauté de son infini Objet ".
A propos de Jean de Saint-Samson