Le voleur d'étincelles est un des premiers romans de Robert Brasillach. Le personnage principal de cette oeuvre est un provincial émigré à Paris du nom de Lazare. Solitaire, il s'embarque facilement dans ses souvenirs d'enfant et redécouvre la ville où toute son histoire a commencé. Sensibles à la présence du bonheur et à la joie d'exister, les souvenirs de Lazare s'arrêteront particulièrement sur les passages, les odeurs et les histoires d'autrefois.
Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au Lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de l'Action française et l'auteur de plusieurs chef-d'oeuvres littéraires. En 1939, il succéda à Pierre Gaxotte à la tête de l'hebdomadaire Je suis partout. En 1945, victime des drames de l'épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grand écrivains français dont François Mauriac.
Le voleur d'étincelles est un des premiers romans de Robert Brasillach. Le personnage principal de cette oeuvre est un provincial émigré à Paris du nom de Lazare. Solitaire, il s'embarque facilement dans ses souvenirs d'enfant et redécouvre la ville où toute son histoire a commencé. Sensibles à la présence du bonheur et à la joie d'exister, les souvenirs de Lazare s'arrêteront particulièrement sur les passages, les odeurs et les histoires d'autrefois.
Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au Lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de l'Action française et l'auteur de plusieurs chef-d'oeuvres littéraires. En 1939, il succéda à Pierre Gaxotte à la tête de l'hebdomadaire Je suis partout. En 1945, victime des drames de l'épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grand écrivains français dont François Mauriac.