Le vocabulaire latin de la philosophie. De Cicéron à Heidegger
2e édition revue et corrigée

Par : Jean-Michel Fontanier
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  • Nombre de pages143
  • PrésentationBroché
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions15,0 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7298-2402-2
  • EAN9782729824020
  • Date de parution15/06/2005
  • CollectionVocabulaire de...
  • ÉditeurEllipses

Résumé

N'en déplaise aux hellénomaniaques, il y eut aussi des philosophes romains, il y eut même des Romains, comme Marcus Tullius Cicero, pour oser, parce quelle était claire, précise, belle enfin, philosopher dans leur propre langue. Ainsi le latin, langue d'un peuple, " amoureux et avide de races étrangères " selon la formule célèbre de Nietzsche, devint en Occident, pour presque deux mille ans, la langue vivante de la philosophie, celle de saint Augustin, de saint Thomas, de Ficin, de Descartes, de Spinoza, de Leibniz. Dans ce Vocabulaire latin de la philosophie le dessein est triple : établir des ponts avec la terminologie grecque, faire apparaître les équivoques possibles, mais, avant tout, illustrer les divers sens de chaque mot, d'Absolutus à Voluptas. D'où l'abondance des citations ou, à défaut, des références, car il s'agit de procurer au lecteur, souvent réduit à lire les textes philosophiques latins en traduction, un instrument d'accès aux originaux.
N'en déplaise aux hellénomaniaques, il y eut aussi des philosophes romains, il y eut même des Romains, comme Marcus Tullius Cicero, pour oser, parce quelle était claire, précise, belle enfin, philosopher dans leur propre langue. Ainsi le latin, langue d'un peuple, " amoureux et avide de races étrangères " selon la formule célèbre de Nietzsche, devint en Occident, pour presque deux mille ans, la langue vivante de la philosophie, celle de saint Augustin, de saint Thomas, de Ficin, de Descartes, de Spinoza, de Leibniz. Dans ce Vocabulaire latin de la philosophie le dessein est triple : établir des ponts avec la terminologie grecque, faire apparaître les équivoques possibles, mais, avant tout, illustrer les divers sens de chaque mot, d'Absolutus à Voluptas. D'où l'abondance des citations ou, à défaut, des références, car il s'agit de procurer au lecteur, souvent réduit à lire les textes philosophiques latins en traduction, un instrument d'accès aux originaux.