Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Si Malraux n'est pas un philosophe, il y a bien - et les textes de Merleau-Ponty ou de Blanchot ne laissent à cet égard aucun doute - une philosophie...
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Résumé
Si Malraux n'est pas un philosophe, il y a bien - et les textes de Merleau-Ponty ou de Blanchot ne laissent à cet égard aucun doute - une philosophie de l'art d'André Malraux. Il a souvent affirmé que celle-ci n'était ni une esthétique, ni une histoire de l'art. Cette réflexion sur la création artistique, qui entre en résonance avec Kant ou Hegel, mais aussi, et de manière plus inattendue, avec le dernier Benjamin, n'aboutit pas à un système, mais à un questionnement : " Peu importe qu'on accepte mes réponses, si on ne peut ignorer mes questions ", écrivait-il dans La Tête d'Obsidienne. Encore faut-il bien comprendre ces questions. On a donc essayé ici de relever ce vocabulaire dont a usé Malraux dans ses écrits sur l'art - qui constituent la part tout à la fois la plus philosophique et la plus méconnue de son œuvre.