Le vivant et l'épistémologie des concepts. Essai sur Le normal et le pathologique de Georges Canguilhem
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- Nombre de pages122
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-296-05017-4
- EAN9782296050174
- Date de parution01/02/2008
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les concepts dont les sciences font usage ne sont pas neutres, notamment lorsqu'ils s'appliquent au vivant. Ils se construisent suivant des déterminations spécifiques en fonction des époques, des idéologies humaines et possèdent l'originalité de porter un propos sur le vivant émanant du vivant lui-même. Ceci n'est pas sans incidence sur les différents champs d'application des sciences du vivant comme la médecine ou la thérapeutique.
La présente étude s'intéresse au geste particulier auquel invite Georges Canguilhem dans son essai Le normal et le pathologique. C'est sur ce geste, hautement philosophique, que s'appuient les prémisses d'une épistémologie des concepts. Toujours en acte, cette dernière ouvre la question des normes et de l'erreur rapportée au vivant. Elle est l'occasion d'une redécouverte de la richesse authentique de l'état pathologique permettant au vivant qui s'étudie de mieux se connaître.
La présente étude s'intéresse au geste particulier auquel invite Georges Canguilhem dans son essai Le normal et le pathologique. C'est sur ce geste, hautement philosophique, que s'appuient les prémisses d'une épistémologie des concepts. Toujours en acte, cette dernière ouvre la question des normes et de l'erreur rapportée au vivant. Elle est l'occasion d'une redécouverte de la richesse authentique de l'état pathologique permettant au vivant qui s'étudie de mieux se connaître.
Les concepts dont les sciences font usage ne sont pas neutres, notamment lorsqu'ils s'appliquent au vivant. Ils se construisent suivant des déterminations spécifiques en fonction des époques, des idéologies humaines et possèdent l'originalité de porter un propos sur le vivant émanant du vivant lui-même. Ceci n'est pas sans incidence sur les différents champs d'application des sciences du vivant comme la médecine ou la thérapeutique.
La présente étude s'intéresse au geste particulier auquel invite Georges Canguilhem dans son essai Le normal et le pathologique. C'est sur ce geste, hautement philosophique, que s'appuient les prémisses d'une épistémologie des concepts. Toujours en acte, cette dernière ouvre la question des normes et de l'erreur rapportée au vivant. Elle est l'occasion d'une redécouverte de la richesse authentique de l'état pathologique permettant au vivant qui s'étudie de mieux se connaître.
La présente étude s'intéresse au geste particulier auquel invite Georges Canguilhem dans son essai Le normal et le pathologique. C'est sur ce geste, hautement philosophique, que s'appuient les prémisses d'une épistémologie des concepts. Toujours en acte, cette dernière ouvre la question des normes et de l'erreur rapportée au vivant. Elle est l'occasion d'une redécouverte de la richesse authentique de l'état pathologique permettant au vivant qui s'étudie de mieux se connaître.