Le Vaudois des terres noyées. Ingénieur à la Guiane française 1777-1791
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- Nombre de pages333
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-84450-400-5
- EAN9782844504005
- Date de parution01/03/2012
- CollectionEspace outre-mer
- ÉditeurIbis Rouge
- PréfacierYannick Le Roux
- PréfacierOlivier Pavillon
- PréfacierKristen Sarge
Résumé
En 1769, Jean Samuel Guisan (1740-1801), ingénieur autodidacte d'origine suisse, débarque au Surinam pour aider son oncle dans la gestion de plantations. Lors de sa visite à Paramaribo en 1777, l'ordonnateur Malouet le débauche et lui confie la mission de développer la culture des terres basses de la Guyane française et gérer l'atelier royal d'esclaves dévolus aux travaux publics. Jusqu'en 1791, il travaille ainsi à la promotion des "terres noyées", conseillant, aménageant, construisant pour le compte de la colonie et d'habitants particuliers.
De retour dans son pays natal, il rédige pour la postérité ses mémoires, dans lesquels il livre un témoignage exceptionnel sur son parcours en Guyane hollandaise et française : agriculture, esclavage, politique, technique, colonisation, société coloniale sont autant de thèmes qu'il aborde avec le regard d'un étranger qui a navigué aussi bien dans les zones humides les plus inhabitées de Guyane que les salons ministériels de la Cour de Louis XVI.
De retour dans son pays natal, il rédige pour la postérité ses mémoires, dans lesquels il livre un témoignage exceptionnel sur son parcours en Guyane hollandaise et française : agriculture, esclavage, politique, technique, colonisation, société coloniale sont autant de thèmes qu'il aborde avec le regard d'un étranger qui a navigué aussi bien dans les zones humides les plus inhabitées de Guyane que les salons ministériels de la Cour de Louis XVI.
En 1769, Jean Samuel Guisan (1740-1801), ingénieur autodidacte d'origine suisse, débarque au Surinam pour aider son oncle dans la gestion de plantations. Lors de sa visite à Paramaribo en 1777, l'ordonnateur Malouet le débauche et lui confie la mission de développer la culture des terres basses de la Guyane française et gérer l'atelier royal d'esclaves dévolus aux travaux publics. Jusqu'en 1791, il travaille ainsi à la promotion des "terres noyées", conseillant, aménageant, construisant pour le compte de la colonie et d'habitants particuliers.
De retour dans son pays natal, il rédige pour la postérité ses mémoires, dans lesquels il livre un témoignage exceptionnel sur son parcours en Guyane hollandaise et française : agriculture, esclavage, politique, technique, colonisation, société coloniale sont autant de thèmes qu'il aborde avec le regard d'un étranger qui a navigué aussi bien dans les zones humides les plus inhabitées de Guyane que les salons ministériels de la Cour de Louis XVI.
De retour dans son pays natal, il rédige pour la postérité ses mémoires, dans lesquels il livre un témoignage exceptionnel sur son parcours en Guyane hollandaise et française : agriculture, esclavage, politique, technique, colonisation, société coloniale sont autant de thèmes qu'il aborde avec le regard d'un étranger qui a navigué aussi bien dans les zones humides les plus inhabitées de Guyane que les salons ministériels de la Cour de Louis XVI.