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- Nombre de pages75
- PrésentationBroché
- Poids0.115 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-7067-0726-1
- EAN9782706707261
- Date de parution01/03/2010
- ÉditeurSalvator
Résumé
Ce petit livre rend, dans un style méditatif et poétique, la surprise de la résurrection pour tout chrétien à travers l'expérience fictive d'un témoin oculaire, Cléophas, l'un des deux disciples dits " d'Emmaüs ". Restant au plus près de ce que les études bibliques peuvent nous dire sur le témoignage des premiers chrétiens, remis dans le contexte de l'attente messianique juive et surtout face à la réponse déroutante que Jésus lui a apportée, ce texte cherche à relier des interrogations existentielles à l'expérience de la vie.
Ce petit livre rend, dans un style méditatif et poétique, la surprise de la résurrection pour tout chrétien à travers l'expérience fictive d'un témoin oculaire, Cléophas, l'un des deux disciples dits " d'Emmaüs ". Restant au plus près de ce que les études bibliques peuvent nous dire sur le témoignage des premiers chrétiens, remis dans le contexte de l'attente messianique juive et surtout face à la réponse déroutante que Jésus lui a apportée, ce texte cherche à relier des interrogations existentielles à l'expérience de la vie.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
5/5
“ L'appréciation louangeuse de Christian Bobin ”
"Fait d'une matière de parole, non de savoir ou de littérature... Ce que j'aime le plus c'est l'air qui passe entre les mots et les soulève légèrement au-dessus de la page comme au-dessus de toute connaissance, fut-elle théologique... Malgré vos titres, vous avez gardé cette lanterne d'ignorance qui seule éclaire l'abîme. La douceur venait avec les phrases et s'attardait plus longtemps qu'elles." (novembre 2016)
"Fait d'une matière de parole, non de savoir ou de littérature... Ce que j'aime le plus c'est l'air qui passe entre les mots et les soulève légèrement au-dessus de la page comme au-dessus de toute connaissance, fut-elle théologique... Malgré vos titres, vous avez gardé cette lanterne d'ignorance qui seule éclaire l'abîme. La douceur venait avec les phrases et s'attardait plus longtemps qu'elles." (novembre 2016)
