Le travail du Blanc ne finit jamais. L'Africain, le temps et le travail moderne
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- Nombre de pages94
- PrésentationBroché
- Poids0.14 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-913126-36-7
- EAN9782913126367
- Date de parution01/05/2007
- CollectionDéfis
- ÉditeurDianoia
Résumé
De préjugés en clichés, l'idée du rejet du travail et de l'effort par le Noir s'est imposée dans les esprits occidentaux avant de se cristalliser dans cette expression africaine courante, particulièrement au Gabon et au Congo : " le travail du Blanc ne finit jamais... ". Saisir le sens de cette expression, tel est l'objet de cet ouvrage construit sur l'hypothèse suivante : pour l'Africain, le travail du Blanc ne finit jamais parce que ce travail particulier relève d'une logique temporelle différente, aggravée par les conditions d'irruption de cette forme de travail en Afrique. L'expression le travail du Blanc ne finit jamais traduit ainsi l'expérience matérielle et symbolique des Africains au temps de travail marquée par les affres du passage forcé d'un temps cyclique, en l'occurrence bantou, à un temps linéaire indifféremment judéo-chrétien et capitaliste.
De préjugés en clichés, l'idée du rejet du travail et de l'effort par le Noir s'est imposée dans les esprits occidentaux avant de se cristalliser dans cette expression africaine courante, particulièrement au Gabon et au Congo : " le travail du Blanc ne finit jamais... ". Saisir le sens de cette expression, tel est l'objet de cet ouvrage construit sur l'hypothèse suivante : pour l'Africain, le travail du Blanc ne finit jamais parce que ce travail particulier relève d'une logique temporelle différente, aggravée par les conditions d'irruption de cette forme de travail en Afrique. L'expression le travail du Blanc ne finit jamais traduit ainsi l'expérience matérielle et symbolique des Africains au temps de travail marquée par les affres du passage forcé d'un temps cyclique, en l'occurrence bantou, à un temps linéaire indifféremment judéo-chrétien et capitaliste.