Le théâtre historique et ses objets : le magasin des accessoires
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.36 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-08836-8
- EAN9782296088368
- Date de parution01/09/2012
- CollectionUniversités / Comparaisons
- ÉditeurOrizons
Résumé
Dans le théâtre post-brechtien, l'accessoire agace ou fait sourire : on a tôt fait d'y voir une facilité, une complaisance à l'éclat superficiel, au mieux une virtuosité technique. Le "magasin des accessoires" semble un lieu patrimonial et suranné, dont seules les périodes plus anciennes savaient lire et comprendre le sens, souvent plus subversif qu'illustratif. Pour parler d'Histoire, notamment, l'objet serait somme toute devenu suspect : étendards, guillotines et autres portraits sortis des musées pour passer à la scène ne paraissent pas indispensables et l'on joue de plus en plus en costume de ville plutôt qu'en costume historique.
Ce volume a tenu à revenir sur cette association hâtive mais tenace qui fait de l'accessoire dans le théâtre historique un outil un peu désuet et banal du grand spectacle : il est pourtant bien là dans nombre de dramaturgies de la modernité, faisant le bonheur de bien des metteurs en scène, de bien des comédiens... et de bien des spectateurs.
Ce volume a tenu à revenir sur cette association hâtive mais tenace qui fait de l'accessoire dans le théâtre historique un outil un peu désuet et banal du grand spectacle : il est pourtant bien là dans nombre de dramaturgies de la modernité, faisant le bonheur de bien des metteurs en scène, de bien des comédiens... et de bien des spectateurs.
Dans le théâtre post-brechtien, l'accessoire agace ou fait sourire : on a tôt fait d'y voir une facilité, une complaisance à l'éclat superficiel, au mieux une virtuosité technique. Le "magasin des accessoires" semble un lieu patrimonial et suranné, dont seules les périodes plus anciennes savaient lire et comprendre le sens, souvent plus subversif qu'illustratif. Pour parler d'Histoire, notamment, l'objet serait somme toute devenu suspect : étendards, guillotines et autres portraits sortis des musées pour passer à la scène ne paraissent pas indispensables et l'on joue de plus en plus en costume de ville plutôt qu'en costume historique.
Ce volume a tenu à revenir sur cette association hâtive mais tenace qui fait de l'accessoire dans le théâtre historique un outil un peu désuet et banal du grand spectacle : il est pourtant bien là dans nombre de dramaturgies de la modernité, faisant le bonheur de bien des metteurs en scène, de bien des comédiens... et de bien des spectateurs.
Ce volume a tenu à revenir sur cette association hâtive mais tenace qui fait de l'accessoire dans le théâtre historique un outil un peu désuet et banal du grand spectacle : il est pourtant bien là dans nombre de dramaturgies de la modernité, faisant le bonheur de bien des metteurs en scène, de bien des comédiens... et de bien des spectateurs.