Le Territoire de la Grande Chartreuse du XVIe au XVIIIe siècle. Montagne sacrée, montagne profane
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- Nombre de pages478
- PrésentationBroché
- Poids0.862 kg
- Dimensions15,9 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-7061-1653-7
- EAN9782706116537
- Date de parution15/12/2011
- CollectionLa pierre et l'écrit
- ÉditeurPUG
Résumé
Cet ouvrage compte 8 chapitres organisés en 3 parties, qui visent à expliquer la genèse et le maintien d’une identité territoriale cartusienne très spécifique, fondée sur la présence monastique et la spiritualité austère des chartreux, et qui n’est pas contradictoire avec l’ouverture économique, le désenclavement géographique et la fréquentation croissante du territoire de la Grande Chartreuse à partir de la fin du XVIe siècle.
Les illustrations sont tirées de documents d’archives, et une série de cartes originales est également proposée pour localiser plus facilement les phénomènes abordés. La première partie de l’ouvrage revient sur le fonctionnement du territoire cartusien, et sur les étapes de son extension à l’époque moderne, alors que les religieux règnent en maîtres sur le massif. Il est ensuite question de l’ouverture progressive de cette périphérie monastique du royaume de France : bien que la vocation cartusienne soit fondée sur le retrait du monde et la solitude, la Grande Chartreuse s’inscrit dans les évolutions de son temps, en adoptant les innovations économiques susceptibles de renforcer sa position à la tête d’un ordre réputé pour la sincérité de ses vocations et vénéré dans toute l’Europe.
La dernière partie s’intéresse aux représentations associées au désert des chartreux, alors que s’accumulent témoignages et écrits de voyage à partir du XVIIe siècle. La Grande Chartreuse est devenue une étape incontournable du Grand Tour, et son territoire s’apparente à un véritable laboratoire des nouveaux usages de la montagne. Au XVIIIe siècle, l’évolution du regard porté sur la nature se traduit une complexification des systèmes de sacralisation de l’espace, au prisme notamment de l’écriture romantique.
Les illustrations sont tirées de documents d’archives, et une série de cartes originales est également proposée pour localiser plus facilement les phénomènes abordés. La première partie de l’ouvrage revient sur le fonctionnement du territoire cartusien, et sur les étapes de son extension à l’époque moderne, alors que les religieux règnent en maîtres sur le massif. Il est ensuite question de l’ouverture progressive de cette périphérie monastique du royaume de France : bien que la vocation cartusienne soit fondée sur le retrait du monde et la solitude, la Grande Chartreuse s’inscrit dans les évolutions de son temps, en adoptant les innovations économiques susceptibles de renforcer sa position à la tête d’un ordre réputé pour la sincérité de ses vocations et vénéré dans toute l’Europe.
La dernière partie s’intéresse aux représentations associées au désert des chartreux, alors que s’accumulent témoignages et écrits de voyage à partir du XVIIe siècle. La Grande Chartreuse est devenue une étape incontournable du Grand Tour, et son territoire s’apparente à un véritable laboratoire des nouveaux usages de la montagne. Au XVIIIe siècle, l’évolution du regard porté sur la nature se traduit une complexification des systèmes de sacralisation de l’espace, au prisme notamment de l’écriture romantique.
Cet ouvrage compte 8 chapitres organisés en 3 parties, qui visent à expliquer la genèse et le maintien d’une identité territoriale cartusienne très spécifique, fondée sur la présence monastique et la spiritualité austère des chartreux, et qui n’est pas contradictoire avec l’ouverture économique, le désenclavement géographique et la fréquentation croissante du territoire de la Grande Chartreuse à partir de la fin du XVIe siècle.
Les illustrations sont tirées de documents d’archives, et une série de cartes originales est également proposée pour localiser plus facilement les phénomènes abordés. La première partie de l’ouvrage revient sur le fonctionnement du territoire cartusien, et sur les étapes de son extension à l’époque moderne, alors que les religieux règnent en maîtres sur le massif. Il est ensuite question de l’ouverture progressive de cette périphérie monastique du royaume de France : bien que la vocation cartusienne soit fondée sur le retrait du monde et la solitude, la Grande Chartreuse s’inscrit dans les évolutions de son temps, en adoptant les innovations économiques susceptibles de renforcer sa position à la tête d’un ordre réputé pour la sincérité de ses vocations et vénéré dans toute l’Europe.
La dernière partie s’intéresse aux représentations associées au désert des chartreux, alors que s’accumulent témoignages et écrits de voyage à partir du XVIIe siècle. La Grande Chartreuse est devenue une étape incontournable du Grand Tour, et son territoire s’apparente à un véritable laboratoire des nouveaux usages de la montagne. Au XVIIIe siècle, l’évolution du regard porté sur la nature se traduit une complexification des systèmes de sacralisation de l’espace, au prisme notamment de l’écriture romantique.
Les illustrations sont tirées de documents d’archives, et une série de cartes originales est également proposée pour localiser plus facilement les phénomènes abordés. La première partie de l’ouvrage revient sur le fonctionnement du territoire cartusien, et sur les étapes de son extension à l’époque moderne, alors que les religieux règnent en maîtres sur le massif. Il est ensuite question de l’ouverture progressive de cette périphérie monastique du royaume de France : bien que la vocation cartusienne soit fondée sur le retrait du monde et la solitude, la Grande Chartreuse s’inscrit dans les évolutions de son temps, en adoptant les innovations économiques susceptibles de renforcer sa position à la tête d’un ordre réputé pour la sincérité de ses vocations et vénéré dans toute l’Europe.
La dernière partie s’intéresse aux représentations associées au désert des chartreux, alors que s’accumulent témoignages et écrits de voyage à partir du XVIIe siècle. La Grande Chartreuse est devenue une étape incontournable du Grand Tour, et son territoire s’apparente à un véritable laboratoire des nouveaux usages de la montagne. Au XVIIIe siècle, l’évolution du regard porté sur la nature se traduit une complexification des systèmes de sacralisation de l’espace, au prisme notamment de l’écriture romantique.