Le temps et l'espace de la (dé)colonisation. Dialogue entre Frantz Fanon et Henri Lefebvre
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- Nombre de pages257
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.393 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-93250-31-1
- EAN9791093250311
- Date de parution12/03/2019
- CollectionRhizome
- ÉditeurEtérotopia Editions
Résumé
Depuis des années, les théories urbaines marxistes et les courants anticoloniaux ont démontré le rôle central de l'aménagement du territoire et des politiques coloniales dans le développement du capitalisme. Le défi de Stefan Kipfer est de montrer comment ces deux dynamiques s'articulent et s'incarnent dans les stratégies étatiques "contre-révolutionnaires" et les processus d'urbanisation globale, fracturée, hétérogène et avec des temporalités plurielles.
Ce livre, composé de textes modifiés et actualisés datant de la période entre 2004 et 2018, propose un dialogue entre les critiques de Henri Lefebvre et celles de Frantz Fanon. Ce dialogue veut contribuer à l'analyse des aspects néocoloniaux des processus d'urbanisation, qu'il s'agisse des espaces métropolitains (Paris) ou bien des réseaux et des infrastructures qui lient d'autres espaces urbanisés dans le monde (Les Antilles françaises et les périphéries canadiennes).
L'auteur s'interroge aussi comment les interventions urbaines postfordistes - incluant la planification de la diversité et de la mixité sociale - ont répondu en partie aux luttes de la période de "1968". Il s'agit aujourd'hui de retracer, dans les transformations urbaines capitalistes, les stratégies néocoloniales et le racisme d'Etat.
Ce livre, composé de textes modifiés et actualisés datant de la période entre 2004 et 2018, propose un dialogue entre les critiques de Henri Lefebvre et celles de Frantz Fanon. Ce dialogue veut contribuer à l'analyse des aspects néocoloniaux des processus d'urbanisation, qu'il s'agisse des espaces métropolitains (Paris) ou bien des réseaux et des infrastructures qui lient d'autres espaces urbanisés dans le monde (Les Antilles françaises et les périphéries canadiennes).
L'auteur s'interroge aussi comment les interventions urbaines postfordistes - incluant la planification de la diversité et de la mixité sociale - ont répondu en partie aux luttes de la période de "1968". Il s'agit aujourd'hui de retracer, dans les transformations urbaines capitalistes, les stratégies néocoloniales et le racisme d'Etat.
Depuis des années, les théories urbaines marxistes et les courants anticoloniaux ont démontré le rôle central de l'aménagement du territoire et des politiques coloniales dans le développement du capitalisme. Le défi de Stefan Kipfer est de montrer comment ces deux dynamiques s'articulent et s'incarnent dans les stratégies étatiques "contre-révolutionnaires" et les processus d'urbanisation globale, fracturée, hétérogène et avec des temporalités plurielles.
Ce livre, composé de textes modifiés et actualisés datant de la période entre 2004 et 2018, propose un dialogue entre les critiques de Henri Lefebvre et celles de Frantz Fanon. Ce dialogue veut contribuer à l'analyse des aspects néocoloniaux des processus d'urbanisation, qu'il s'agisse des espaces métropolitains (Paris) ou bien des réseaux et des infrastructures qui lient d'autres espaces urbanisés dans le monde (Les Antilles françaises et les périphéries canadiennes).
L'auteur s'interroge aussi comment les interventions urbaines postfordistes - incluant la planification de la diversité et de la mixité sociale - ont répondu en partie aux luttes de la période de "1968". Il s'agit aujourd'hui de retracer, dans les transformations urbaines capitalistes, les stratégies néocoloniales et le racisme d'Etat.
Ce livre, composé de textes modifiés et actualisés datant de la période entre 2004 et 2018, propose un dialogue entre les critiques de Henri Lefebvre et celles de Frantz Fanon. Ce dialogue veut contribuer à l'analyse des aspects néocoloniaux des processus d'urbanisation, qu'il s'agisse des espaces métropolitains (Paris) ou bien des réseaux et des infrastructures qui lient d'autres espaces urbanisés dans le monde (Les Antilles françaises et les périphéries canadiennes).
L'auteur s'interroge aussi comment les interventions urbaines postfordistes - incluant la planification de la diversité et de la mixité sociale - ont répondu en partie aux luttes de la période de "1968". Il s'agit aujourd'hui de retracer, dans les transformations urbaines capitalistes, les stratégies néocoloniales et le racisme d'Etat.