Jacques André est psychanalyste.
Le temps du désespoir
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- Nombre de pages156
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.15 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,3 cm
- ISBN2-13-052832-5
- EAN9782130528326
- Date de parution13/11/2002
- CollectionPetite bibliothèque psychanaly
- ÉditeurPUF
Résumé
" Désespérer d'une chose n'est rien, ou tout juste un début, désespérer de soi, voilà la fin. " Aux mots du philosophe Kierkegaard font écho ceux du mal-être tels qu'ils se donnent à entendre au gré de l'expérience psychanalytique : " J'en ai marre de moi, j'en ai marre d'être moi... " Quand plus ça va, plus ça va mal, quand l'attente (l'espoir) semble avoir épuisé tous les possibles, quand guérir devient le plus grand des dangers.
Le désespoir des uns (patients) fait au moins l'impuissance des autres (analystes).
Mais que le désespoir puisse ainsi aller jusqu'à mettre " le feu au moi " conduit à douter qu'il soit le dernier mot qu'il prétend être.
Mais que le désespoir puisse ainsi aller jusqu'à mettre " le feu au moi " conduit à douter qu'il soit le dernier mot qu'il prétend être.
" Désespérer d'une chose n'est rien, ou tout juste un début, désespérer de soi, voilà la fin. " Aux mots du philosophe Kierkegaard font écho ceux du mal-être tels qu'ils se donnent à entendre au gré de l'expérience psychanalytique : " J'en ai marre de moi, j'en ai marre d'être moi... " Quand plus ça va, plus ça va mal, quand l'attente (l'espoir) semble avoir épuisé tous les possibles, quand guérir devient le plus grand des dangers.
Le désespoir des uns (patients) fait au moins l'impuissance des autres (analystes).
Mais que le désespoir puisse ainsi aller jusqu'à mettre " le feu au moi " conduit à douter qu'il soit le dernier mot qu'il prétend être.
Mais que le désespoir puisse ainsi aller jusqu'à mettre " le feu au moi " conduit à douter qu'il soit le dernier mot qu'il prétend être.