Souleymane Wattara Mbodou est un jeune auteur tchadien né le 30 juin 1990. Il est titulaire d'un baccalauréat économique, série G2, obtenu à N'djamena. En 2014, il obtient son Master II en gestion financière et comptable à l'École Nationale de Commerce et de Gestion de l'université Mohamed 1er à Oujda au Maroc. Il est aujourd'hui analyste économique et financier indépendant, consultant au sein du cabinet OSEF-Consultant, spécialiste des questions financières internationales et de montage financier des projets d'investissements et de création d'entreprises.
Le tchad et l'univers de l'or noir au bord du précipice. Chute des cours du pétrole et défis économiques - Essai
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- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- Poids0.0987 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-414-03539-7
- EAN9782414035397
- Date de parution02/02/2018
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Depuis fin 2014, les cours du pétrole ont fortement chuté et les barils perdent plus de 70 % de leurs valeurs. C'est un véritable cauchemar, tant pour les plus gros producteurs tels que l'Arabie Saoudite, le Venezuela, l'Angola, la Russie... que pour un pays comme le Tchad. Ainsi, le sort de ces derniers dépend des décisions de l'OPEP. Depuis lors, le Tchad sombre dans une crise chronique de trésorerie.
Abstraction faite de cette débâcle conjoncturelle, des épiphénomènes ont encore accru la vulnérabilité de l'économie nationale. En effet, les perspectives à envisager pour juguler cette situation effervescente sont multiples, entre autres : l'agriculture, l'élevage, le choix de modes de financement alternatifs et des politiques économiques adéquates.
Abstraction faite de cette débâcle conjoncturelle, des épiphénomènes ont encore accru la vulnérabilité de l'économie nationale. En effet, les perspectives à envisager pour juguler cette situation effervescente sont multiples, entre autres : l'agriculture, l'élevage, le choix de modes de financement alternatifs et des politiques économiques adéquates.
Depuis fin 2014, les cours du pétrole ont fortement chuté et les barils perdent plus de 70 % de leurs valeurs. C'est un véritable cauchemar, tant pour les plus gros producteurs tels que l'Arabie Saoudite, le Venezuela, l'Angola, la Russie... que pour un pays comme le Tchad. Ainsi, le sort de ces derniers dépend des décisions de l'OPEP. Depuis lors, le Tchad sombre dans une crise chronique de trésorerie.
Abstraction faite de cette débâcle conjoncturelle, des épiphénomènes ont encore accru la vulnérabilité de l'économie nationale. En effet, les perspectives à envisager pour juguler cette situation effervescente sont multiples, entre autres : l'agriculture, l'élevage, le choix de modes de financement alternatifs et des politiques économiques adéquates.
Abstraction faite de cette débâcle conjoncturelle, des épiphénomènes ont encore accru la vulnérabilité de l'économie nationale. En effet, les perspectives à envisager pour juguler cette situation effervescente sont multiples, entre autres : l'agriculture, l'élevage, le choix de modes de financement alternatifs et des politiques économiques adéquates.