Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le traité Moed Katan se présente comme un complément au Traité Pessahim (Folio essais n° 421). Il est question, comme l'indique son titre, des "...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
Le traité Moed Katan se présente comme un complément au Traité Pessahim (Folio essais n° 421). Il est question, comme l'indique son titre, des " demi-fêtes " - soit essentiellement du temps qui sépare le premier et le dernier jour de la Pâque. Cette période, qualifiée par les maîtres du Talmud de hol hamoed, c'est-à-dire à la fois jour profane et jour de fête, porte une ambivalence qui sera, tout au long du texte, au cœur d'un débat constamment rapporté aux problèmes les plus concrets, en particulier aux difficultés que soulève l'interdit de travailler. La seconde partie du traité concerne la conduite et le travail du deuil, aussi bien à travers le récit du décès de quelques grands maîtres que grâce aux plus savantes oraisons ou aux paroles improvisées des femmes du peuple en deuil. Si le premier mot du traité enjoignait d'arroser les arbres pour les empêcher de mourir, le deuil constitue donc le mot de la fin, à travers le même fil conducteur. C'est le cours de la destinée humaine que ces paroles vives des grands maîtres remontent jusqu'à son terme. Jusqu'à sa première et ultime ambivalence.