Le souffleur de nuages
Edition en gros caractères

Par : Nadine Monfils

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-37932-102-3
  • EAN9782379321023
  • Date de parution06/01/2021
  • ÉditeurLibra Diffusio

Résumé

Franck, chauffeur de taxi, est triste parce que son chat est mort, que sa vie est monotone et qu'il est seul. Un jour, il reçoit l'appel d'Hélène, une vieille dame fantasque, qui l'attend avec sa valise devant sa maison, dont elle laisse la porte grande ouverte, "comme ça, tout le monde pourra entrer et se servir...". Elle n'a pas l'intention de revenir, mais souhaite retrouver enfin le grand amour de sa vie.
Franck et Hélène vont alors se lancer dans une aventure pleine de surprises, et devenir l'un pour l'autre des souffleurs de nuages. Car il n'y a pas d'âge pour poursuivre ses rêves, et les rencontres inattendues peuvent parfois ensoleiller notre existence...
Franck, chauffeur de taxi, est triste parce que son chat est mort, que sa vie est monotone et qu'il est seul. Un jour, il reçoit l'appel d'Hélène, une vieille dame fantasque, qui l'attend avec sa valise devant sa maison, dont elle laisse la porte grande ouverte, "comme ça, tout le monde pourra entrer et se servir...". Elle n'a pas l'intention de revenir, mais souhaite retrouver enfin le grand amour de sa vie.
Franck et Hélène vont alors se lancer dans une aventure pleine de surprises, et devenir l'un pour l'autre des souffleurs de nuages. Car il n'y a pas d'âge pour poursuivre ses rêves, et les rencontres inattendues peuvent parfois ensoleiller notre existence...

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Fred t.Decitre Crêches-sur-Saône
4/5
Le souffleur de nuages
Franck, chauffeur de taxi à Paris vit seul avec le chagrin du décès de son ami et confident, son chat. Un jour, son taxi va m'amener à croiser la route d'Hélène, une dame qui souhaite retrouver les lieux de sa jeunesse et de son seul amour. Nadine Monfils,comme dans le "rêve d'un fou", avec son talent d'écriture et de l'expression (comme savait le faire Audiard) nous offre des personnages simples, épris de liberté et d'amour.
Franck, chauffeur de taxi à Paris vit seul avec le chagrin du décès de son ami et confident, son chat. Un jour, son taxi va m'amener à croiser la route d'Hélène, une dame qui souhaite retrouver les lieux de sa jeunesse et de son seul amour. Nadine Monfils,comme dans le "rêve d'un fou", avec son talent d'écriture et de l'expression (comme savait le faire Audiard) nous offre des personnages simples, épris de liberté et d'amour.

Avis des lecteurs
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4.3/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
un livre qui fait du bien
Ce livre est une petite perle qui fait du bien. Avec le talent de narration qu’on lui connaît, Nadine Monfils nous entraîne dans les aventures et la vie d’un chauffeur de taxi et d’une vieille dame qui parent en pèlerinage à la recherche de son amour de jeunesse. Une petite bouffée d’air frais, de l’émotion, de l’amour et de l’amitié, voilà les ingrédients d’un roman qui fait du bien et nous permet de sourire aux petites choses simples d ela vie. J’adore cette auteur qui manie aussi bien l’humour parfois décalé et les sentiments, les émotions.
Ce livre est une petite perle qui fait du bien. Avec le talent de narration qu’on lui connaît, Nadine Monfils nous entraîne dans les aventures et la vie d’un chauffeur de taxi et d’une vieille dame qui parent en pèlerinage à la recherche de son amour de jeunesse. Une petite bouffée d’air frais, de l’émotion, de l’amour et de l’amitié, voilà les ingrédients d’un roman qui fait du bien et nous permet de sourire aux petites choses simples d ela vie. J’adore cette auteur qui manie aussi bien l’humour parfois décalé et les sentiments, les émotions.
Je suis bleu de toi !
Avec le Souffleur de nuages, Nadine Monfils nous entraine à nouveau, comme avec son dernier roman le rêve d'un fou, dans l'univers de ceux qui ne s'expriment pas en pleine page mais choisissent de créer leur monde dans l'une des marges. Franck le chauffeur de taxi sans histoires (on pourrait le voir comme tel mais des histoires il en a à ne pas savoir qu'en faire), rencontre Hélène, la vieille dame que d'aucuns jugeraient indigne (mais qui ne l'est pas du tout indigne). Leur rencontre va provoquer une déflagration dans leur vie en les confrontant à cette réalité qu'ils souhaitaient au plus profond d'eux-mêmes mais qu'ils ont toujours fui. Par peur de ne pas savoir, de ne pas pouvoir vivre cette vie rêvée. Nadine Monfils en profite pour caser au passage quelques références bien senties et bienvenues dont elle aime à nous régaler : Ainsi lorsque Franck nous parle des célébrités qu'il a transporté dans son taxi, « La seule avec laquelle il avait bien ri était Dominique Lavanant. Elle était serrée dans une veste rose, trop courte. Il l'avait emmenée à l'enterrement de Mocky. Elle lui avait raconté qu'elle portait cette veste dans un de ses films et qu'il l'avait trouvée chez Emmaüs. « Avare, mais grand bonhomme ! Je l'adorais ! » avait-elle ajouté.» Où, lorsqu'Hélène évoque la ville de Senlis chère à son coeur (je ne vous dis pas pourquoi), «La maison dans laquelle il vivait est rue du Puits Tiphaine, à côté de celle de Séraphine de Senlis. Vous voyez de qui je parle ? — Non. Je n'ai pas l'honneur de connaître cette dame, regretta Franck. Je devrais ? — Vous n'avez pas vu le film avec Yolande Moreau ? — Je n'ai pas beaucoup l'occasion d'aller au cinéma avec les horaires que j'ai. Dommage parce que j'adore cette actrice, elle est formidable. — Oui ! Et c'est un très beau film ! Elle jouait le rôle de Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis. C'était une femme de ménage toute simple, orpheline à l'âge de 7 ans. Un jour, un critique d'art l'embauche et découvre qu'elle peint des natures mortes, des fleurs foisonnantes et très colorées, de la végétation tropicale et paradisiaque. Séduit par son talent, il décide de devenir son mécène.» Un roman court (133 pages) du genre que l'on dévore et dont on sort la tête toute rêveuse et pleine de bonnes questions. Il y a dans le titre le souffleur de nuages une reminiscence du Pelleteux de nuages dont les Canadiens affublent Jean-Baptiste Adamberg le commissaire de Fred Vargas. Je concluerai cette chronique en reprenant ce que dit Chritian Bobin à propos du roman « J'ai lu votre texte ou plutôt je l'ai traversé de part en part, comme on traverse un pays étranger, sans jamais s'y sentir en exil.» Impression confirmée. Un livre à lire. Une petite dernière à laquelle je ne peux résister : « — Savez – vous comment on dit « je t'aime » en Belgique ? Je suis bleue de toi… » Je suis bleu de Nadine, moi !
Avec le Souffleur de nuages, Nadine Monfils nous entraine à nouveau, comme avec son dernier roman le rêve d'un fou, dans l'univers de ceux qui ne s'expriment pas en pleine page mais choisissent de créer leur monde dans l'une des marges. Franck le chauffeur de taxi sans histoires (on pourrait le voir comme tel mais des histoires il en a à ne pas savoir qu'en faire), rencontre Hélène, la vieille dame que d'aucuns jugeraient indigne (mais qui ne l'est pas du tout indigne). Leur rencontre va provoquer une déflagration dans leur vie en les confrontant à cette réalité qu'ils souhaitaient au plus profond d'eux-mêmes mais qu'ils ont toujours fui. Par peur de ne pas savoir, de ne pas pouvoir vivre cette vie rêvée. Nadine Monfils en profite pour caser au passage quelques références bien senties et bienvenues dont elle aime à nous régaler : Ainsi lorsque Franck nous parle des célébrités qu'il a transporté dans son taxi, « La seule avec laquelle il avait bien ri était Dominique Lavanant. Elle était serrée dans une veste rose, trop courte. Il l'avait emmenée à l'enterrement de Mocky. Elle lui avait raconté qu'elle portait cette veste dans un de ses films et qu'il l'avait trouvée chez Emmaüs. « Avare, mais grand bonhomme ! Je l'adorais ! » avait-elle ajouté.» Où, lorsqu'Hélène évoque la ville de Senlis chère à son coeur (je ne vous dis pas pourquoi), «La maison dans laquelle il vivait est rue du Puits Tiphaine, à côté de celle de Séraphine de Senlis. Vous voyez de qui je parle ? — Non. Je n'ai pas l'honneur de connaître cette dame, regretta Franck. Je devrais ? — Vous n'avez pas vu le film avec Yolande Moreau ? — Je n'ai pas beaucoup l'occasion d'aller au cinéma avec les horaires que j'ai. Dommage parce que j'adore cette actrice, elle est formidable. — Oui ! Et c'est un très beau film ! Elle jouait le rôle de Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis. C'était une femme de ménage toute simple, orpheline à l'âge de 7 ans. Un jour, un critique d'art l'embauche et découvre qu'elle peint des natures mortes, des fleurs foisonnantes et très colorées, de la végétation tropicale et paradisiaque. Séduit par son talent, il décide de devenir son mécène.» Un roman court (133 pages) du genre que l'on dévore et dont on sort la tête toute rêveuse et pleine de bonnes questions. Il y a dans le titre le souffleur de nuages une reminiscence du Pelleteux de nuages dont les Canadiens affublent Jean-Baptiste Adamberg le commissaire de Fred Vargas. Je concluerai cette chronique en reprenant ce que dit Chritian Bobin à propos du roman « J'ai lu votre texte ou plutôt je l'ai traversé de part en part, comme on traverse un pays étranger, sans jamais s'y sentir en exil.» Impression confirmée. Un livre à lire. Une petite dernière à laquelle je ne peux résister : « — Savez – vous comment on dit « je t'aime » en Belgique ? Je suis bleue de toi… » Je suis bleu de Nadine, moi !
Je suis bleu de toi
Avec le Souffleur de nuages, Nadine Monfils nous entraine à nouveau, comme avec son dernier roman le rêve d'un fou, dans l'univers de ceux qui ne s'expriment pas en pleine page mais choisissent de créer leur monde dans l'une des marges. Franck le chauffeur de taxi sans histoires (on pourrait le voir comme tel mais des histoires il en a à ne pas savoir qu'en faire), rencontre Hélène, la vieille dame que d'aucuns jugeraient indigne (mais qui ne l'est pas du tout indigne). Leur rencontre va provoquer une déflagration dans leur vie en les confrontant à cette réalité qu'ils souhaitaient au plus profond d'eux-mêmes mais qu'ils ont toujours fui. Par peur de ne pas savoir, de ne pas pouvoir vivre cette vie rêvée. Nadine Monfils en profite pour caser au passage quelques références bien senties et bienvenues dont elle aime à nous régaler : Ainsi lorsque Franck nous parle des célébrités qu'il a transporté dans son taxi, « La seule avec laquelle il avait bien ri était Dominique Lavanant. Elle était serrée dans une veste rose, trop courte. Il l'avait emmenée à l'enterrement de Mocky. Elle lui avait raconté qu'elle portait cette veste dans un de ses films et qu'il l'avait trouvée chez Emmaüs. « Avare, mais grand bonhomme ! Je l'adorais ! » avait-elle ajouté.» Où, lorsqu'Hélène évoque la ville de Senlis chère à son coeur (je ne vous dis pas pourquoi), «La maison dans laquelle il vivait est rue du Puits Tiphaine, à côté de celle de Séraphine de Senlis. Vous voyez de qui je parle ? — Non. Je n'ai pas l'honneur de connaître cette dame, regretta Franck. Je devrais ? — Vous n'avez pas vu le film avec Yolande Moreau ? — Je n'ai pas beaucoup l'occasion d'aller au cinéma avec les horaires que j'ai. Dommage parce que j'adore cette actrice, elle est formidable. — Oui ! Et c'est un très beau film ! Elle jouait le rôle de Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis. C'était une femme de ménage toute simple, orpheline à l'âge de 7 ans. Un jour, un critique d'art l'embauche et découvre qu'elle peint des natures mortes, des fleurs foisonnantes et très colorées, de la végétation tropicale et paradisiaque. Séduit par son talent, il décide de devenir son mécène.» Un roman court (133 pages) du genre que l'on dévore et dont on sort la tête toute rêveuse et pleine de bonnes questions. Il y a dans le titre le souffleur de nuages une reminiscence du Pelleteux de nuages dont les Canadiens affublent Jean-Baptiste Adamberg le commissaire de Fred Vargas. Je concluerai cette chronique en reprenant ce que dit Chritian Bobin à propos du roman « J'ai lu votre texte ou plutôt je l'ai traversé de part en part, comme on traverse un pays étranger, sans jamais s'y sentir en exil.» Impression confirmée. Un livre à lire. Une petite dernière à laquelle je ne peux résister : « — Savez – vous comment on dit « je t'aime » en Belgique ? Je suis bleue de toi… » Je suis bleu de Nadine, moi !
Avec le Souffleur de nuages, Nadine Monfils nous entraine à nouveau, comme avec son dernier roman le rêve d'un fou, dans l'univers de ceux qui ne s'expriment pas en pleine page mais choisissent de créer leur monde dans l'une des marges. Franck le chauffeur de taxi sans histoires (on pourrait le voir comme tel mais des histoires il en a à ne pas savoir qu'en faire), rencontre Hélène, la vieille dame que d'aucuns jugeraient indigne (mais qui ne l'est pas du tout indigne). Leur rencontre va provoquer une déflagration dans leur vie en les confrontant à cette réalité qu'ils souhaitaient au plus profond d'eux-mêmes mais qu'ils ont toujours fui. Par peur de ne pas savoir, de ne pas pouvoir vivre cette vie rêvée. Nadine Monfils en profite pour caser au passage quelques références bien senties et bienvenues dont elle aime à nous régaler : Ainsi lorsque Franck nous parle des célébrités qu'il a transporté dans son taxi, « La seule avec laquelle il avait bien ri était Dominique Lavanant. Elle était serrée dans une veste rose, trop courte. Il l'avait emmenée à l'enterrement de Mocky. Elle lui avait raconté qu'elle portait cette veste dans un de ses films et qu'il l'avait trouvée chez Emmaüs. « Avare, mais grand bonhomme ! Je l'adorais ! » avait-elle ajouté.» Où, lorsqu'Hélène évoque la ville de Senlis chère à son coeur (je ne vous dis pas pourquoi), «La maison dans laquelle il vivait est rue du Puits Tiphaine, à côté de celle de Séraphine de Senlis. Vous voyez de qui je parle ? — Non. Je n'ai pas l'honneur de connaître cette dame, regretta Franck. Je devrais ? — Vous n'avez pas vu le film avec Yolande Moreau ? — Je n'ai pas beaucoup l'occasion d'aller au cinéma avec les horaires que j'ai. Dommage parce que j'adore cette actrice, elle est formidable. — Oui ! Et c'est un très beau film ! Elle jouait le rôle de Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis. C'était une femme de ménage toute simple, orpheline à l'âge de 7 ans. Un jour, un critique d'art l'embauche et découvre qu'elle peint des natures mortes, des fleurs foisonnantes et très colorées, de la végétation tropicale et paradisiaque. Séduit par son talent, il décide de devenir son mécène.» Un roman court (133 pages) du genre que l'on dévore et dont on sort la tête toute rêveuse et pleine de bonnes questions. Il y a dans le titre le souffleur de nuages une reminiscence du Pelleteux de nuages dont les Canadiens affublent Jean-Baptiste Adamberg le commissaire de Fred Vargas. Je concluerai cette chronique en reprenant ce que dit Chritian Bobin à propos du roman « J'ai lu votre texte ou plutôt je l'ai traversé de part en part, comme on traverse un pays étranger, sans jamais s'y sentir en exil.» Impression confirmée. Un livre à lire. Une petite dernière à laquelle je ne peux résister : « — Savez – vous comment on dit « je t'aime » en Belgique ? Je suis bleue de toi… » Je suis bleu de Nadine, moi !
  • amour absolu
Le souffleur de nuages
4/5
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