Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La respiration est primordiale. Ce livre en témoigne. Le texte de la Prashna Upanishad (complété ici par d'autres Upanishad) indique les lignes directrices...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 3 octobre
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Résumé
La respiration est primordiale. Ce livre en témoigne. Le texte de la Prashna Upanishad (complété ici par d'autres Upanishad) indique les lignes directrices qui ont conduit l'auteur à l'expérience de l'unité. Celui-ci suggère également un parallèle avec Claude Bernard, " père de la physiologie moderne ". A la recherche des conditions qui sont à l'origine de la vie, Claude Bernard présente des facteurs déjà exposés dans cette Upanishad. Celle-ci justifie et développe, selon l'Advaïta Védanta, une méthode d'épanouissement physique et psychique universellement expérimentée tant en pratique médicale qu'en matière de quête spirituelle dans la voie de l'Unité. La Prashna Upanishad expose une physio-psychologie globale : le souffle est la fonction première, essentielle et ultime de l'être vivant, " le souffle est la divinité ". Ce souffle (prana) nous assure l'énergie " Une ". Souffle, Énergie, Vitalité ne font qu'un. Il y a identification entre notre respiration et le " Souffle-Énergie " cosmique. L'inspiration consciente induit l'énergie unique qui anime tout notre être, en recueillant et concentrant celle-ci dans l'Unité intérieure. Il nous insuffle notre " élan vital " et nous indique ainsi la source de la cohérence dynamique de notre être qui reste Un depuis son fondement somatique le plus charnel jusqu'à ses efflorescences les plus éthérées. L'universalité de la Prashna Upanishad initie les techniques de méditation, de relaxation, de yoga, de sophrologie... Nous voyons ici (à travers de nombreuses citations) que non seulement les Upanishad, mais les sages de l'ancienne Égypte, Héraclite, les moines hésychastes chrétiens, les soufis... affirment tous la prédominance immanente du Souffle vécu en conscience. Au-delà d'une respiration limitée, il s'agit de ressentir que c'est la Vie universelle qui respire en nous. Le Souffle est dit " guide radieux " car l'abandon du mental à la pénétration du Souffle-Énergie conduit à la conscience lumineuse de l'Unité.