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"Voilà quarante ans bientôt que je classe et que j'étudie les gloses sous lesquelles la critique a enfoui les quatorze vers de Voyelles. Ma conclusion ? Celle de M. Henri Cazals dans Combat : "C'est le jour où le sonnet des Voyelles ne sera plus pris au sérieux que l'on pourra parler sérieusement de Rimbaud". N'est-ce pas le prendre au sérieux que de lui consacrer deux cents pages ? Tout dépend de ce qu'elles disent, ces deux cents pages.
N'eût été l'insistance de mon éminent collègue, M. Faurisson, j'aurais sans doute laissé en vrac toutes ces notes", Etiemble.