Le songe de Poliphile

Par : Thierry Ledoux

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages72
  • PrésentationRelié
  • Poids1.1 kg
  • Dimensions24,0 cm × 33,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-90371-28-6
  • EAN9791090371286
  • Date de parution23/10/2014
  • ÉditeurTrans Photographic Press

Résumé

Thierry Ledoux, un photographe, qui, peut-être, cherche à décrypter son destin futur, non pas dans le marc de café, mais dans l’écorce des arbres du monde entier. Comme tout photographe qui se respecte, Thierry Ledoux est aussi un infatigable voyageur… Où n’est-il pas allé ? Thierry serait-il paysagiste ? A la recherche de l’insolite, de la catastrophe sanglante, du beau sublime, ou de l’incroyable diversité des visages humains de par le monde ? Thierry, lui, secrètement, se passionne pour les arbres ou plus exactement pour L’Arbre, non pas pour le pittoresque des branches ou pour leurs formes bizarres, mais plutôt pour l’écorce, et ce qu’il y voit (et que très probablement nous ne verrons jamais) relève d’une sorte de magie visuelle.
Ainsi, Thierry réussit à nous prouver que, certes, l’arbre peut porter des fruits mais aussi susciter pour celui qui le regarde d’assez près toutes sortes de fantasmagories. Et là que n’ai-je pas découvert ?
Thierry Ledoux, un photographe, qui, peut-être, cherche à décrypter son destin futur, non pas dans le marc de café, mais dans l’écorce des arbres du monde entier. Comme tout photographe qui se respecte, Thierry Ledoux est aussi un infatigable voyageur… Où n’est-il pas allé ? Thierry serait-il paysagiste ? A la recherche de l’insolite, de la catastrophe sanglante, du beau sublime, ou de l’incroyable diversité des visages humains de par le monde ? Thierry, lui, secrètement, se passionne pour les arbres ou plus exactement pour L’Arbre, non pas pour le pittoresque des branches ou pour leurs formes bizarres, mais plutôt pour l’écorce, et ce qu’il y voit (et que très probablement nous ne verrons jamais) relève d’une sorte de magie visuelle.
Ainsi, Thierry réussit à nous prouver que, certes, l’arbre peut porter des fruits mais aussi susciter pour celui qui le regarde d’assez près toutes sortes de fantasmagories. Et là que n’ai-je pas découvert ?